La consommation énergétique de chaque blockchain dépend de son nombre d’utilisateurs, mais également de son protocole utilisé. Les données ont été fournies par Alex de Vries, un spécialiste de blockchain chez PwC. Recommandations politiques Les distributeurs publics d’énergie (Enedis et GRDF) sont en plein déploiement des compteurs communicants (Linky et Gazpar), compteurs qui ont pu rencontrer une résistance auprès de certains particuliers.La collecte des données de consommation et la démocratisation de la cryptomonnaie sont en train de révolutionner notre modèle énergétique. Blockchain, énergie et investissements. Avec une consommation énergétique en phase d’utilisation qui serait comparable à celle de l’Irlande, le Bitcoin diffuse l’image d’une technologie Blockchain énergivore incompatible avec les objectifs de la transition écologique. Contexte : dans son discours du 15 Avril 2019 à Bercy, Bruno Le Maire indique vouloir « faire progresser cette technologie (en améliorant la consommation énergétique ) », tendant à confirmer qu’il y aurait là un problème. Concrètement, son objectif second serait de transférer les bénéfices de la blockchain à d’autres domaines et applications. La question de la consommation énergétique de la blockchain en est-elle vraiment une ? La consommation élevée d’électricité du Bitcoin pourrait être encore plus élevée qu’on le croit. «Internet a démocratisé l’information, la blockchain va démocratiser la transaction». 5. L’avènement de la blockchain et des crypto-monnaies, en particulier le BitCoin, pose de réelles questions de consommation électrique. La Blockchain est réputée très énergivore de par son protocole de minage appelé « Proof of Work ». Un chiffre tiré de calculs prévisionnels publiés sur le site de la communauté Ethereum. Le blog propose des faits intéressants sur la consommation d’énergie de Bitcoin. La blockchain créée des réseaux et compteurs intelligents pour fluidifier la distribution d’énergie et réduire le gaspillage. ASIC signifie Application Specific Integrated Circuit, soit une puce qui permet de rendre performant le calcul graphique (GPU). Par La rédaction Publié le 15 juillet 2019 à 15 h 37 min . By Christophe Auffray 20 mai 2021. Sa comparaison de consommation entre le réseau Bitcoin et celle de l’Irlande devient une référence commune pour décrier l’appétit gargantuesque des blockchains pour les gigawatts. La blockchain est une technologie de transmission et de stockage d’informations qui garantit des transactions particulièrement sécurisées sans intermédiaire, et peut s’adapter à de nombreuses situations [1]. La consommation énergétique de chaque blockchain dépend de son nombre d’utilisateurs, mais également de son protocole utilisé. La question de la consommation énergétique de la blockchain en est-elle vraiment une ? Il y a 21 jours - Par Le Journal du Net. Oui, la blockchain "classique" repose sur ce principe de distribution et de calcul par chaque "mineur" (étape qu'on appelle "le minage"), très énergivore. «La blockchain permet de répartir de façon équitable l’énergie : avoir une production et une consommation au plus près du besoin, ajoute l’ingénieure de recherche au CEA. La blockchain fait son chemin hors du secteur financier. Ils ont donc développé ITEMx®, une plate-forme digitale qui permet aux marques de créer un lien entre les produits et les consommateurs dans le but de présenter l’historique de leur production et/ou chaîne d’approvisionnement sur la blockchain publique Ethereum (technologie a très faible consommation énergétique des transactions). Blockchain & Smart grids Contactez ... Notre souci est de fournir une solution efficace aux problèmes de la production d’énergie, distribution, consommation et stockage. Or les études mentionnent rarement le fait que les chiffres avancés sont basés sur des estimations, rarement précises, voire des extrapolations. Depuis quelques années, les publications pointant l’impact écologique du Bitcoin se sont multipliées, notamment au moment de la hausse du cours du Bitcoin, quand celui-ci était l’objet de toutes les attentions médiatiques. Mais dans le secteur énergétique, cette technologie suscite autant d’espoirs que de craintes. https://cryptoast.fr/bitcoin-minage-consommation-energie-ecologi Le cours du Bitcoin s'envole... et son coût énergétique aussi. La blockchain dans le paysage énergétique. Potentiellement facilitateur et catalyseur de la transition énergétique, l’outil blockchain représente une source d’opportunités pour tous les acteurs du secteur, notamment par sa combinaison avec d’autres moyens technologiques tels que les objets connectés, les contrats intelligents, ainsi que les techniques de gestion et d’interprétation des données de masse. La blockchain Bitcoin doit sa renommée à sa sécurité, jamais mise en défaut en huit ans d’existence. Bien que la technologie évolue, elle doit encore être améliorée. Au premier rang de ces freins, on trouve l’actuelle contradiction de certaines technologies blockchain en matière de consommation d’énergie ou la remise en question des effets positifs du consomm’acteur. Bitcoin, blockchain et environnement Que coûte le Bitcoin en consommation d'énergie ? «La blockchain a un potentiel immense», annonce Karim Beddiar, ingénieur, docteur responsable recherche et innovation à Cesi Ouest et coauteur de l’ouvrage Blockchain pour l’énergie aux éditions Dunod. Pour apporter la preuve d’une consommation d’énergie verte, on rapproche la preuve d’injection d’une certaine quantité d’énergie et la preuve du soutirage de cette même quantité sur ce même réseau. En plein boom, les technologies de la blockchain utilisées dans le secteur des cryptomonnaies sont confrontées à une consommation gigantesque d’énergie Et cette dépense d’énergie devrait continuer d’exploser, au même rythme que la popularité de la crypto-monnaie. La blockchain, future colonne vertébrale des réseaux d'énergie intelligents. L’exemple le plus connu est sans doute l’affirmation que le Bitcoin conso… Des protocoles radicalement moins énergivores – mais potentiellement moins sécurisés – existent tel que le « Proof-of-Stake » par exemple. D'après le Bitcoin Energy Consumption Index de Digiconomist, la consommation énergétique du minage serait aujourd'hui de 73,12 térawattheures (TWh) par an. Ethereum sera environ 7000 fois plus économe en énergie que Bitcoin, qui continue de s’appuyer sur […] Karl J. O’Dwyer et David Malone ont montré, dans une étude publiée [PDF] en 2014, que la consommation du réseau destiné au bitcoin était probablement de l’ordre de grandeur de la consommation électrique d’un pays comme l’Irlande, soit environ 3 GW. La consommation d'électricité et de ressources informatiques comptent parmi les coûts de transaction cachés de la blockchain. L’Espagne investit dans la blockchain pour encourager la consommation d’énergie renouvelable. Lui y croit résolument. L'équipe d'Uniris a estimé la consommation énergétique du réseau ArchEthic, en supposant qu'il couvrait les activités de la blockchain Bitcoin actuellement. Blockchain, consommation énergétique et RSE. Cependant une augmentation du nombre de transactions sur le réseau n’entraînera pas une augmentation de la consommation énergétique. Rémi Bouvet. Elle garantit l’origine de l’énergie, qu’elle soit solaire, éolienne ou issue d’une autre source d’énergie renouvelable. L’actualité est régulièrement ponctuée de thématique en lien avec la consommation énergétique de la blockchain.Cette dernière, non seulement ne serait rien d’autre qu’un support pour “l’infâme Bitcoin” dont les sursauts font régulièrement les gros titres, mais consommerait aussi plus d’énergie que certains états ou des industries entières. En plein boom, les technologies de la blockchain utilisées dans le secteur des cryptomonnaies sont confrontées à une consommation gigantesque d’énergie La blockchain est une technologie de transmission et de stockage d’informations qui garantit des transactions particulièrement sécurisées sans intermédiaire, et peut s’adapter à de nombreuses situations [1]. La masse monétaire mondiale en circulation est estimée à 11 000 milliards de dollars. sur les chiffres de la consommation énergétique de Bitcoin et mène à des conclusions trop rapides. Un cas d'utilisation déjà réalisable est l'optimisation de la consommation d'électricité et de gaz. Plusieurs villes, soucieuses de leur consommation énergétique, ont interdit le "minage" sur leur territoire. Comme il est possible que certaines machines moins performantes (qui sont progressivement retirées du marché dès qu’elles passent sous le seuil de rentabilité) soient encore en activité (il en existe aussi de plus performantes), on peut donc estimer la consommation actuelle du réseau Bitcoin à une quarantaine de milliards de kWh par an. Karl J. O’Dwyer et David Malone ont montré, dans une étude publiée en 2014, que la consommation du réseau destiné au bitcoin était probablement de l’ordre de grandeur de la consommation électrique d’un pays comme l’Irlande, soit environ 3 GW. Une étude réalisée en 2014 par deux chercheurs irlandais montre que les systèmes fondés sur le concept de blockchain avec preuve de travail peuvent être qualifiés de gouffres énergétiques [12]. Soit la quantité d’énergie nécessaire pour alimenter 18 foyers américains pendant une journée. 1. Mais, «elle n’est pas du tout mature. La Blockchain permet également de certifier l’origine verte de l’énergie échangée et à en encourager le développement. TNTIC, veille technologique spécialisée et curation de contenus (Iot, Blockchain, eSanté, Opendata, Smartcity, Ecomobilité, Chatbot, ...) Skip to content. Le 17 mars 2020 il cotait autour de 5000€. L’amalgame entre bitcoin et blockchain est souvent trop rapidement effectué. Alors, faut-il bannir la blockchain ? Le cours du Bitcoin s'envole... et son coût énergétique aussi. Vers un modèle de blockchain écologique. Ce mécanisme ajuste la difficulté des problèmes à résoudre en fonction de la puissance de calcul du réseau. Aujourd’hui, le système de garantie d’origine propose un rapprochement global entre ces deux preuves à la maille annuelle. La conformité au RGPD et aux règles de protection des données commerciales sensibles représente également un défi clé. Ils sont inscrit sur une blockchain et vérifient les transactions qui requièrent de la puissance de calcul..Après vérification, ... L’arrivée des puces ASICs, sa forte consommation en énergie et son impact écologique ne jouent pas en sa faveur. Et cette dépense d’énergie devrait continuer d’exploser, au même rythme que la popularité de la crypto-monnaie. La masse monétaire mondiale en circulation est estimée à 11 000 milliards de dollars. Facebook Twitter Google+ LinkedIn Reddit WhatsApp Telegram Share via Email Print. Innovation . La période est favorable : la multiplication des auto-producteurs (les foyers dotés de panneaux photovoltaïques par exemple) pose d’important problèmes aux réseaux de distributions traditionnels, conçus historiquement de façon univoque. Avec Ethereum 2.0, la blockchain gagne sur un nouveau tableau. Mais la question de la consommation énergétique est-elle vraiment le fond du problème quand on adopte une solution blockchain . Le consensus est par définition un accord et consentement du plus grand nombre. Des protocoles radicalement moins énergivores – mais potentiellement moins sécurisés – existent tel que le « Proof-of-Stake » par exemple. Chaque certification d’un document avec la Blockchain nécessite une consommation énergétique de seulement 1Wh, soit l’équivalent d’un tiers de la consommation énergétique d’un e-mail. Quand on veut tuer son chien on dit qu’il à la rage…les crypto monnaies importent peu ce qui compte c’est que la démonstration réussie du pouvoir de la blockchain, qui est u En effet toutes les cryptomonnaies n'ont pas le même type de consensus. Figure 2 : Les différentes phases de développement de la technologie des blockchains. L'actualité est régulièrement ponctuée de thématique en lien avec la consommation énergétique de la blockchain.