Une étude réalisée en 2014 par deux chercheurs irlandais montre que les systèmes fondés sur le concept de blockchain avec preuve de travail peuvent être qualifiés de gouffres énergétiques [12]. Recommandations politiques Mais, «elle n’est pas du tout mature. La blockchain, future colonne vertébrale des réseaux d'énergie intelligents. On obtient ainsi une blockchain plus rapide, demandant moins de ressources de calcul et ainsi une baisse de la consommation énergétique. Ainsi, utiliser le réseau Bitcoin (ou un autre réseau blockchain publique basé sur un algorithme de preuve de travail) ne lui fera pas consommer plus ou moins d’énergie. Sa comparaison de consommation entre le réseau Bitcoin et celle de l’Irlande devient une référence commune pour décrier l’appétit gargantuesque des blockchains pour les gigawatts. Or les études mentionnent rarement le fait que les chiffres avancés sont basés sur des estimations, rarement précises, voire des extrapolations. Contexte : dans son discours du 15 Avril 2019 à Bercy, Bruno Le Maire indique vouloir « faire progresser cette technologie (en améliorant la consommation énergétique ) », tendant à confirmer qu’il y aurait là un problème. En plein boom, les technologies de la blockchain utilisées dans le secteur des cryptomonnaies sont confrontées à une consommation gigantesque d’énergie La Blockchain est réputée très énergivore de par son protocole de minage appelé « Proof of Work ». La question de la consommation énergétique de la blockchain en est-elle vraiment une ? Avec une consommation énergétique en phase d’utilisation qui serait comparable à celle de l’Irlande, le Bitcoin diffuse l’image d’une technologie Blockchain énergivore incompatible avec les objectifs de la transition écologique. Services de qualité . Mais dans le secteur énergétique, cette technologie suscite autant d’espoirs que de craintes. La consommation élevée d’électricité du Bitcoin pourrait être encore plus élevée qu’on le croit. Ils ont donc développé ITEMx®, une plate-forme digitale qui permet aux marques de créer un lien entre les produits et les consommateurs dans le but de présenter l’historique de leur production et/ou chaîne d’approvisionnement sur la blockchain publique Ethereum (technologie a très faible consommation énergétique des transactions). Cette technologie intervient également dans la certification des consommations d’énergie. Figure 2 : Les différentes phases de développement de la technologie des blockchains. Des protocoles radicalement moins énergivores – mais potentiellement moins sécurisés – existent tel que le « Proof-of-Stake » par exemple. «La blockchain permet de répartir de façon équitable l’énergie : avoir une production et une consommation au plus près du besoin, ajoute l’ingénieure de recherche au CEA. Au premier rang de ces freins, on trouve l’actuelle contradiction de certaines technologies blockchain en matière de consommation d’énergie ou la remise en question des effets positifs du consomm’acteur. https://cryptoast.fr/bitcoin-minage-consommation-energie-ecologi Commentaires : La consommation d'énergie de la blockchain Ethereum va diminuer de 99% grâce au Proof-of-Stake et à ETH 2.0 (page 3) Débat sur l'actu. En plein boom, les technologies de la blockchain utilisées dans le secteur des cryptomonnaies sont confrontées à une consommation gigantesque d’énergie Pour apporter la preuve d’une consommation d’énergie verte, on rapproche la preuve d’injection d’une certaine quantité d’énergie et la preuve du soutirage de cette même quantité sur ce même réseau. L’actualité est régulièrement ponctuée de thématique en lien avec la consommation énergétique de la blockchain.Cette dernière, non seulement ne serait rien d’autre qu’un support pour “l’infâme Bitcoin” dont les sursauts font régulièrement les gros titres, mais consommerait aussi plus d’énergie que certains états ou des industries entières. De nombreuses entreprises en ont conscience, dont Tezos, la blockchain de 3ème génération made in France que nous ne présentons plus. La blockchain Bitcoin doit sa renommée à sa sécurité, jamais mise en défaut en huit ans d’existence. Cependant une augmentation du nombre de transactions sur le réseau n’entraînera pas une augmentation de la consommation énergétique. Des protocoles radicalement moins énergivores – mais potentiellement moins sécurisés – existent tel que le « Proof-of-Stake » par exemple. Blockchain & Smart grids Contactez ... Notre souci est de fournir une solution efficace aux problèmes de la production d’énergie, distribution, consommation et stockage. La blockchain est une technologie de transmission et de stockage d’informations qui garantit des transactions particulièrement sécurisées sans intermédiaire, et peut s’adapter à de nombreuses situations [1]. Bien que la technologie évolue, elle doit encore être améliorée. 5. Depuis quelques années, les publications pointant l’impact écologique du Bitcoin se sont multipliées, notamment au moment de la hausse du cours du Bitcoin, quand celui-ci était l’objet de toutes les attentions médiatiques. Et cette dépense d’énergie devrait continuer d’exploser, au même rythme que la popularité de la crypto-monnaie. Karl J. O’Dwyer et David Malone ont montré, dans une étude publiée [PDF] en 2014, que la consommation du réseau destiné au bitcoin était probablement de l’ordre de grandeur de la consommation électrique d’un pays comme l’Irlande, soit environ 3 GW. Potentiellement facilitateur et catalyseur de la transition énergétique, l’outil blockchain représente une source d’opportunités pour tous les acteurs du secteur, notamment par sa combinaison avec d’autres moyens technologiques tels que les objets connectés, les contrats intelligents, ainsi que les techniques de gestion et d’interprétation des données de masse. L’avènement de la blockchain et des crypto-monnaies, en particulier le BitCoin, pose de réelles questions de consommation électrique. La Fondation Ethereum s’attend à ce que la consommation d’énergie de la blockchain diminue de plus de 99%. Il s’agira de concilier les caractéristiques de performance, de sécurité et de consommation énergétique des réseaux blockchain. Bitcoin, blockchain et environnement Que coûte le Bitcoin en consommation d'énergie ? Lui y croit résolument. Vries est le fondateur du Digiconomist blog, un site web créé pour sensibiliser à l’impact des monnaies cryptées dans le monde réel. Le cours du Bitcoin s'envole... et son coût énergétique aussi. «La blockchain a un potentiel immense», annonce Karim Beddiar, ingénieur, docteur responsable recherche et innovation à Cesi Ouest et coauteur de l’ouvrage Blockchain pour l’énergie aux éditions Dunod. La blockchain fait son chemin hors du secteur financier. Mais dans le secteur énergétique, cette technologie suscite autant d’espoirs que de craintes. L’exemple le plus connu est sans doute l’affirmation que le Bitcoin conso… La blockchain dans le paysage énergétique. D'après le Cambridge Bitcoin Electricity Consumption Index, elle serait de 60 TWh par an. La blockchain Bitcoin doit sa renommée à sa sécurité, jamais mise en défaut en huit ans d’existence. L'actualité est régulièrement ponctuée de thématique en lien avec la consommation énergétique de la blockchain. Points clés à retenir Ethereum est en train de passer à la preuve d’enjeu, ce qui réduira considérablement sa consommation d’énergie. Selon des chercheurs, l'augmentation de la valeur des bitcoins entraîne une consommation d'énergie toujours plus élevée. By Christophe Auffray 20 mai 2021. L’Espagne investit dans la blockchain pour encourager la consommation d’énergie renouvelable. Mais la question de la consommation énergétique est-elle vraiment le fond du problème quand on adopte une solution blockchain . Ceci influe directement sur la consommation énergétique de leur blockchain. La consommation énergétique de chaque blockchain dépend de son nombre d’utilisateurs, mais également de son protocole utilisé. Rémi Bouvet. La consommation d'électricité et de ressources informatiques comptent parmi les coûts de transaction cachés de la blockchain. «Internet a démocratisé l’information, la blockchain va démocratiser la transaction». La masse monétaire mondiale en circulation est estimée à 11 000 milliards de dollars. 1. De manière simplifiée, la blockchain est comme un grand livre électronique où chaque transaction est enregistrée. Plusieurs villes, soucieuses de leur consommation énergétique, ont interdit le "minage" sur leur territoire. Comme il est possible que certaines machines moins performantes (qui sont progressivement retirées du marché dès qu’elles passent sous le seuil de rentabilité) soient encore en activité (il en existe aussi de plus performantes), on peut donc estimer la consommation actuelle du réseau Bitcoin à une quarantaine de milliards de kWh par an. Karl J. O’Dwyer et David Malone ont montré, dans une étude publiée en 2014, que la consommation du réseau destiné au bitcoin était probablement de l’ordre de grandeur de la consommation électrique d’un pays comme l’Irlande, soit environ 3 GW. Concrètement, son objectif second serait de transférer les bénéfices de la blockchain à d’autres domaines et applications. Soit la quantité d’énergie nécessaire pour alimenter 18 foyers américains pendant une journée. Ethereum sera environ 7000 fois plus économe en énergie que Bitcoin, qui continue de s’appuyer sur […] Aujourd’hui, le système de garantie d’origine propose un rapprochement global entre ces deux preuves à la maille annuelle. Un chiffre tiré de calculs prévisionnels publiés sur le site de la communauté Ethereum. Facebook Twitter Google+ LinkedIn Reddit WhatsApp Telegram Share via Email Print. Le 17 mars 2020 il cotait autour de 5000€. L’amalgame entre bitcoin et blockchain est souvent trop rapidement effectué. Alors, faut-il bannir la blockchain ? L'équipe d'Uniris a estimé la consommation énergétique du réseau ArchEthic, en supposant qu'il couvrait les activités de la blockchain Bitcoin actuellement. Vers un modèle de blockchain écologique. Ce mécanisme ajuste la difficulté des problèmes à résoudre en fonction de la puissance de calcul du réseau. La technologie blockchain certifie l’énergie renouvelable et la gestion des échanges de quotas d’émissions. La Blockchain permet également de certifier l’origine verte de l’énergie échangée et à en encourager le développement. Ils sont inscrit sur une blockchain et vérifient les transactions qui requièrent de la puissance de calcul..Après vérification, ... L’arrivée des puces ASICs, sa forte consommation en énergie et son impact écologique ne jouent pas en sa faveur. D'après le Bitcoin Energy Consumption Index de Digiconomist, la consommation énergétique du minage serait aujourd'hui de 73,12 térawattheures (TWh) par an. La masse monétaire mondiale en circulation est estimée à 11 000 milliards de dollars. La question de la consommation énergétique de la blockchain en est-elle vraiment une ? Par La rédaction Publié le 15 juillet 2019 à 15 h 37 min . La période est favorable : la multiplication des auto-producteurs (les foyers dotés de panneaux photovoltaïques par exemple) pose d’important problèmes aux réseaux de distributions traditionnels, conçus historiquement de façon univoque. Avec Ethereum 2.0, la blockchain gagne sur un nouveau tableau. ASIC signifie Application Specific Integrated Circuit, soit une puce qui permet de rendre performant le calcul graphique (GPU). Le consensus est par définition un accord et consentement du plus grand nombre. TNTIC, veille technologique spécialisée et curation de contenus (Iot, Blockchain, eSanté, Opendata, Smartcity, Ecomobilité, Chatbot, ...) Skip to content. Chaque certification d’un document avec la Blockchain nécessite une consommation énergétique de seulement 1Wh, soit l’équivalent d’un tiers de la consommation énergétique d’un e-mail. Innovation . En effet toutes les cryptomonnaies n'ont pas le même type de consensus. Blockchain, énergie et investissements. De nombreux projets ont vu le jour aux États-Unis et en France, comme la crypto-monnaie SolarCoin lancé par l’entreprise Lumo en 2014, que nous détaillons dans cet article.