Lors de son entretien téléphonique avec le journal Libération, elle a tenu à expliquer : “J'ai donné tous les éléments. La directrice adjointe de V.I.P. Selon une enquête menée pendant des mois par le journal Libération, leur patronne n'était autre que Nataliya Kruchenyk, la mère de Yuriy. La patronne de l’entreprise n’est autre que la mère de Yuriy, l’adolescent agressé à Paris le 15 janvier. Libération est un quotidien d'information libre, vigilant et engagé. Le 15 janvier dernier, alors qu'il rentrait du collège avec deux amis, Yuriy s'était retrouvé face à une dizaine de jeunes, pour certaines munis de barres de fer, sur la dalle de Beaugrenelle, un quartier commercial du XVe arrondissement. Céline Dion : pas vu avec la diva depuis de longs mois, Pepe Munoz est avec sa rivale, Ernst August de Hanovre est accusé de violence : il doit être jugé, aurait 83 ans : La vie de son dernier compagnon Christophe Dolbeau aujourd'hui, Delphine Jubillar : son mari Cédric reçoit des messages de menaces, l'avocat s'exprime, Où vit Line Renaud : le jardin secret de l'actrice et chanteuse, Laure de Lattre sur ses souffrances après la popularité et son rôle de "la sale bourgeoise", Où vit Lucie Lucas : sa nouvelle vie en Bretagne dans une ferme loin de l'agitation parisienne, Pierre Ménès : sa femme Mélissa violemment attaquée sur son Instagram, elle réagit, Gabriel Milési, journaliste et écrivain, est décédé à l'âge de 73 ans, Robert Maudsley (le vrai Hannibal Lecter) : sa nièce sors du silence. Esplanade Beaugrenelle, à Paris, le 28 janvier 2021. Jusqu'à présent, les enquêteurs sont toujours à la recherche des dix agresseurs de Yuriy qui sont toujours en fuite. De son côté, la mère du petit Yuriy, battu par une bande de jeunes dans la rue de la XVe arrondissement de Paris le vendredi 15 janvier 2021, nie toutes les accusations portées contre elle. Incroyable : Libération se remet au journalisme d’investigation ! Agression de Yuriy à Paris : ce que l’on sait de l’enquête. Plusieurs de ses femmes victimes d'“exploitation” ont accepté de témoigner dans les colonnes de Libération. Il s'agit en fait d'une entreprise, sous-traitante de HostnFly, qui nettoie les appartements d'Airbnb. Dans des images tournées par des caméras de vidéosurveillance, on voit l'adolescent se faire lyncher durant plusieurs secondes, avant d'être laissé inanimé au sol. Sur le plateau de Touche pas à mon poste, Benjamin Castaldi s'est violemment emporté, très ému par l'affaire Yuriy, ce jeune adolescent passé à tabac et laissé pour mort le 15 janvier dernier. Son pronostic vital ne serait plus engagé. L'hypothèse d'une rivalité entre bandes est explorée par les enquêteurs de la police judiciaire parisienne. Je sais beaucoup de choses, mais je laisse la police répondre à ma place», disait-elle encore. Ces derniers jours, le cousin de la victime avait affirmé que les agresseurs venaient de cette ville limitrophe de l'ouest parisien. (Photo Thomas Coex. Hier soir, dans " Touche pas à mon poste ", Cyril Hanouna a organisé un débat sur C8 autour des accusations contre la mère de Yuriy révélées par "Libération" mardi. Concierge Services, dont la présidente est Nataliya Kruchenyk. Le lendemain, la mère de l'adolescent faisait savoir que son fils émergeait du coma artificiel, victimes de multiples fractures. Leur patronne n'est autre que la mère de Yuriy, l'adolescent tabassé mi-janvier. Il «va un tout petit mieux, indiquait-elle sur BFM TV lundi 18 janvier. Image illustrant une femme triste. We and other data collection technologies to provide the best experience for our customers. Ce jeudi, le parquet de Paris a annoncé que neuf personnes, dont huit mineurs, avaient été placées en garde à vue, pour «tentative d'assassinat», «association de malfaiteurs en vue de commettre un crime» et «vol en réunion avec violences», confirmant une information du Point. D'après une enquête menée par Libération, 11 femmes de ménage ukrainiennes ont travaillé illégalement pendant plusieurs années à Paris pour une conciergerie. Si la quinquagénaire s’est plainte d’avoir les mains abîmées à cause de l’utilisation de produits ménagers sans protection, d’autres ont confié avoir eu des douleurs au dos et aux jambes. Les images de l’agression de Yuriy tournent en boucle sur les réseaux sociaux, pour reprendre une de ces phrases toutes faites qui tiennent lieu de cortex préfrontal aux journalistes de l’info en continu. | Photo : Getty Images. Selon l'hebdomadaire, plusieurs interpellations ont eu lieu à Vanves, dans les Hauts-de-Seine. Libération, qui enquête sur cette affaire depuis plusieurs mois, a pourtant indiqué que les tâches quotidiennes de ses femmes de ménage étaient des plus fatigantes. Illustration : Yuriy, franco-ukrainien de 15 ans, appartiendrait selon Libé et les autres médias à la bande « RD4 » qui aurait tabassé un adolescent noir, sur la foi d’une vidéo … où l’on ne voit ni ne reconnaît Yuriy !. Plusieurs de ses femmes victimes d'“exploitation” ont accepté de témoigner dans les colonnes de Libération. «Je veux avant tout comprendre ce qu'il s'est passé ce jour-là, et pourquoi», exprimait lundi la mère de l'adolescent, Nataliya Kruchenyk, dans une vidéo du Parisien. Yuriy était-il ciblé par cette agression parce qu'il appartenait à une bande rivale ? Toutefois, selon des sources proches du dossier du petit garçon, rapportées par Le Figaro, le garçon âgé de 15 ans est "connu des services de police" pour avoir commis des actes de violence. Et le comble c'est qu'elles n'avaient même pas le droit de "prendre de pause". Après un coma artificiel de plusieurs jours, le jeune garçon souffre de fractures crâniennes, au bras, aux côtes et aux doigts. Selon une enquête menée pendant des mois par le journal Libération, leur patronne n'était autre que Nataliya Kruchenyk, la mère de Yuriy. Pour sa part, Nataliya Kruchenyk dit que toutes ces accusations sont “fausses”. En 2017, Oksana et ses dix collègues ont commencé à travailler pour V.I.P. Yuriy, 15 ans, a été passé à tabac sur la dalle Beaugrenelle dans le 15ème arrondissement par une dizaine d’individus. Pour l'instant, rien n'indique que cette affaire ait un rapport avec l'agression de Yuriy. Le 15 janvier dernier, Yuriy a été passé à tabac par une bande d'une dizaine d'individus. Et la patronne dudit établissement n’est autre que Nataliya Kruchenik, la mère de Yuriy. Deux semaines après la violente agression de Yuriy, indiquait récemment une source proche de l'enquête à. Mardi, Libération révélait un système «d'exploitation» dont seraient victimes onze femmes de ménage ukrainiennes, et dont la patronne de l'entreprise concernée n'est autre que Nataliya Kruchenyk. Mais ce n'est pas tout car, dans Libération, c'est la mère de Yuriy qui fait l'objets d'une série de révélations. Mais l'agression de Des perquisitions ont été réalisées aux domiciles des interpellés afin d'y saisir d'éventuelles armes utilisées le jour des faits. Elle et trois de ses collègues ont décidé de se rendre à l'inspection du travail et ont réussi à obtenir un rendez-vous en mars 2020. Après des années de travail pour la société de conciergerie, certaines d’entre elles sont tombées malades tant les avait gagnées. Samedi, la mère de Yuriy, Nataliya Kruchenyk, a fait savoir que son fils, victimes de multiples fractures, émergeait du coma artificiel. Les policiers envisagent la piste d'un règlement de comptes. Cette dernière nie tous les faits qui lui sont reprochés.Mal de Deux semaines après la violente agression de Yuriy, un adolescent de 15 ans passé à tabac dans le quartier de Beaugrenelle, dans le XVe arrondissement de Paris, l'enquête avance. A ce stade, aucun lien n'est établi entre les deux affaires. Selon une source proche du dossier, citée par l'Agence France Presse (AFP), le collégien avait «un tournevis dans sa poche» lors de son agression. Les médias découvrent à la mi-janvier Mme Natalyia Kruchenyk comme mère de Yuriy, 15 ans, quasi-lynché par d’autres jeunes dans le quartier de Grenelle à Paris. Marilyne Poulain, de la CGT, a expliqué que la gérante leur avait même promis un CDI, une régularisation et une aide à la recherche d'un logement, mais qu'en contrepartie elles devraient "travailler pour sa société". En plus de devoir transporter "tous les produits et le linge", elles faisant constamment des heures supplémentaires non rémunérées. Cela n'a pas empêché que 31 décembre 2018, Oksana a été licenciée. Selon le récit d’Ivana, une des 11 femmes de ménage recrutées à l’église ukrainienne de Saint-Germain-des-Prés et sur les réseaux sociaux : “Au départ, on était embauchées seulement pour les fortes périodes touristiques comme Noël ou l’été. L'objectif de Libération est de fournir une information complète et vérifiée, dans tous les domaines. Onze Ukrainiennes auraient travaillé illégalement pendant des années comme femmes de ménage pour une société de conciergerie à Paris. Services-Concierges, un sous-traitant de HostnFly, une conciergerie dédiée notamment à la location Airbnb ) accusée de « travail dissimulé, de travail illégal et de traite des êtres humains » par onze femmes ukrainienne . | Photo : Getty Images. Une enquête pour “travail dissimulé”, “travail illégal” et “traite des êtres humains” a alors été ouverte et celle-ci a été placée en “liquidation judiciaire”. Ce premier affrontement aurait motivé l'expédition punitive de la bande rivale, responsable du lynchage de Yuriy. «Ce que nous savons, c'est que cet endroit est un lieu de rencontres récurrents entre groupes qui se cherchent […] se livrent à des rivalités tout aussi tenaces que fugaces», indiquait récemment une source proche de l'enquête à Libération. A ce stade, aucun lien n'est établi entre les deux affaires. Si leur visage n'est pas encore connu, découvrez quelques détails à leur sujet. Se réveille, essaie de s'exprimer.» Le ministre de l'Intérieur avait dénoncé en début de semaine une «attaque d'une sauvagerie inouïe.». Le dernier rendez-vous que j’ai eu sur cette histoire a eu lieu hier (...) Ce qu’elles disent, ce sont des mensonges, j’ai déclaré tout le monde, les salariés racontent n’importe quoi”. Il arrive même parfois que leur salaire était payé avec du retard ou pas payé tout court. Ainsi, Oksana, 55 ans, a déclaré qu'elles étaient payées 50 euros par jour et 75 euros le dimanche pour nettoyer 4 à 5 appartements la journée. Des conditions qui n’auraient pas été respectées car d’après leurs témoignages, leurs contrats n'ont pas été validés et leur travail n'a pas été déclaré. Mais l'agression de Yuriy et les accusations portées à l'encontre de sa mère suscitent la sidération des acteurs du dossier, sur lequel Libération a enquêté de longs mois. On arrivait pour la plupart avec un visa touristique.”, Une femme avec des larmes aux yeux. Selon le quotidien, cette femme qui multiplie les interviews dans les médias serait en fait la patronne d'une entreprise accusée de de "travail dissimulé, de travail illégal et de traite des êtres humains" par une dizaine de jeunes femme. Les investigations débutent après la violente agression dont a été victime cet adolescent de 15 ans, à Paris. Le parquet de Paris a confirmé ces gardes à vue notamment pour «tentative d’assassinat» et «association de malfaiteurs en vue de commettre un crime», deux semaines après la violente agression de l’adolescent à Beaugrenelle, dans le XVe arrondissement de Paris. Ou a-t-il été pris pour une autre personne ? Les télévisions assiègent alors “la maman de Yuriy” (celle-ci parle peu). La mère de Yuriy au coeur d'une enquête Libération a fait des révélations sur la mère de l'adolescent actuellement hospitalisé (il a été opéré des yeux, ndlr). La mère de Yuriy accusée d’exploitation de femmes de ménage ukrainiennes D’après une enquête menée par Libération, 11 femmes de ménage ukrainiennes ont travaillé illégalement pendant plusieurs années à Paris pour 6363 63 Comments 7 Shares Concierge Services s’est également exprimée à ce sujet et a déclaré que “tout le travail était déclaré” et assuré ne pas savoir pourquoi les anciennes employées ont porté plainte. Plusieurs camarades de classe du collégien l'ont décrit comme «gentil, sympa et du genre dynamique.» «Un bon élève», selon le personnel de son établissement, qui ne le voit pas appartenir à une bande de jeunes. You may request that your data not be shared with third parties here: Yuriy, battu à Paris : "Libération" lie sa mère à la "traite des êtres humains", Agression de Yuriy : zoom sur les dix agresseurs toujours en fuite, Yuriy, agressé à Paris, opéré : sa mère dévoile la douleur intense dont il souffre, Agression de Yuriy : "C'est un bon gamin avec le sourire", selon son ancien entraîneur, Agression de Yuriy : une massette et une barre de fer ont été trouvées - détails de l'enquête, Delphine Jubillar ne parlait jamais de sa vie privée: les déclarations de l’une des dernières personnes à l'avoir croisée, La nouvelle vie de Christian Jeanpierre après son licenciement de TF1, Yves Montand : la scène du film qui a causé sa mort à l'âge de 70 ans. Huit jours après son agression, Yuriy "a commencé à se réveiller", a confié sa mère à nos confrères. Les pistes sont étudiées par les enquêteurs. Les onze plaignantes ont déposé plainte pour « travail dissimulé », « travail illégal » et « traite d’êtres humains ». AFP). Selon libération qui avait mené une enquête auparavant, la mère de l’enfant serait en fait la patronne d'une entreprise (nommée V.I.P. La classe politique lui témoigne sa solidarité. Mais ce n’est pas tout, les femmes ont décidé de porter plainte, auprès de la gendarmerie contre l’entreprise de conciergerie fin novembre 2020. D’après la publication du journal Libération du 26 janvier 2021, une affaire d’exploitation au sein d’une entreprise a été dénoncée par 11 Ukrainiennes. Un espoir pour cette maman encore choquée par le passage à tabac de son enfant.
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