"Du côté chinois, nous ne voulons assurément plus voir de heurts" avec l'Inde, a assuré devant la presse un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian. En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. 20 soldats indiens ont été tués à la frontière sino-indienne. L’achèvement de cette route prévu fin 2020 et la réorganisation administrative de l’Etat du Jammu-et-Cachemire en octobre 2019, vieux projet d’une droite nationaliste indienne au pouvoir qui s’est vantée de vouloir « verser le sang pour l’Aksai Chin », sont autant de motivations objectives au coup de force chinois. Chine-Inde : cinq minutes pour comprendre le conflit frontalier entre les deux pays ... Les deux pays se renvoient la responsabilité de cet incident. L'Inde et la Chine ont plusieurs litiges territoriaux de longue date, dans les secteurs du Ladakh et de l'Arunachal Pradesh (est). Le contraste est saisissant. Elles étaient convenues il y a dix jours d'une désescalade dans certaines des zones disputées. Mais elle a accusé l'Inde d'être responsable de l'incident. Un militaire indien … Editorial. Si les troupes chinoises occupent bien désormais cette zone de quelques kilomètres carrés dont un porte-parole de l’Armée populaire de libération a rappelé que « la souveraineté a toujours appartenu à la Chine », elles auraient ainsi acquis des positions tactiques-clés sur un projet stratégique indien qui exaspère Pékin depuis plusieurs années : la construction par l’Inde d’une route qui suit la frontière, le long de la région chinoise de l’Aksai Chin, que l’Inde revendique. Pékin a voulu donner une leçon à l’Inde, selon une stratégie du fait accompli qui rappelle sa prise d’îlots et d’atolls en mer de Chine du Sud. Ultime symbole, l’affrontement a eu pour cadre la vallée de la rivière Galwan, où les troupes chinoises ont capturé un poste de défense indien en 1962, donnant le signal de la guerre éclair qui les a alors opposés. La Chine a accusé l'Inde d'être responsable de l'incident en ayant franchi à deux reprises la frontière contestée, mais n'a pas publiquement fait état de morts de son côté. La confrontation fait mercredi les gros titres des journaux indiens, supplantant même la pandémie de coronavirus qui fait rage dans le pays. Certes, ce face-à-face en plein Ladakh est l’énième d’une longue série, mais c’est le premier à faire des victimes depuis 1975 : vingt morts côté indien et un bilan tenu secret côté chinois. Mercredi, plusieurs journaux chinois se contentent de reproduire sur leur site, mais pas en version imprimée, le communiqué du ministère de la Défense appelant l'Inde à la retenue. L’élément déclencheur de la confrontation entre soldats chinois et indiens sur les crêtes de l’Himalaya, qui a eu lieu dans la nuit du lundi 15 au mardi 16 juin, reste inconnu. Les troupes chinoises avaient aussi avancé dans des zones considérées par l'Inde comme situées sur son territoire au Ladakh, poussant New Delhi à dépêcher des renforts dans la région. Les deux capitales asiatiques ont réitéré mardi leur volonté de résoudre cette crise par la voie diplomatique, une "solution pacifique" également souhaitée par l'ONU et Washington. Cette démonstration de force intervient alors que la Chine est sur la défensive : elle est pointée du doigt pour ses responsabilités dans la crise due au Covid-19, mise à l’épreuve par les Etats-Unis dans la guerre commerciale et voit remise en question la rente qu’elle tirait de la mondialisation. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). Cette guerre frontalière dure depuis 1962. ... Un incident qui n'a pas manqué de jeter de l'huile sur le feu entre les deux nations. Editorial du « Monde ». / TENSIONS : Affrontement militaire sans précédent depuis 1975 entre l'Inde et la Chine. L'Inde, choquée par l'accrochage militaire meurtrier dans l'Himalaya qui a causé la mort d'au moins 20 de ses soldats, a consacré l'événement en une de ses journaux, alors que l'épidémie de coronavirus fait toujours rage dans le pays. Pour la Chine, il s’agit de sécuriser son flanc occidental – l’Aksai Chin fait la jointure entre les régions autonomes aussi stratégiques que volatiles du Tibet et du Xinjiang – tout en protégeant son corridor économique – et lui aussi éminemment stratégique – avec l’« ami de tous les temps », le Pakistan. "Nous sommes loin de le Troisième guerre mondiale, mais c'est une situation explosive et dangereuse entre deux puissances nucléaires nationalistes à un moment où l'influence américaine a considérablement diminué", a déclaré Abraham Denmark, directeur du programme Asie du groupe de réflexion américain Wilson Center. La Chine a accusé l'Inde d'être responsable de l'incident en ayant franchi à deux reprises la frontière, mais n'a pas publiquement fait état de morts de son côté. Ce dernier restera connecté avec ce compte. L’Inde a annoncé la mort de 20 de ses soldats après des affrontements avec les forces chinoises, lors d’un incident de frontière dans le Ladakh. Téléchargez l'application France 24, Un accrochage militaire à la frontière entre la Chine et l'Inde fait 20 morts, En Birmanie, Aung San Suu Kyi visée par de nouvelles poursuites pénales, En Birmanie, plus de 700 civils tués depuis le putsch dont 82 en une seule journée, Birmanie : "Il y a une vraie possibilité que le pays tombe dans une guerre civile", Birmanie : le bain de sang se poursuit, l'ONU sommée d'agir contre la junte militaire, Ignorée par la junte birmane, l'émissaire de l'ONU entame une tournée asiatique, Covid-19 : bloqués à l'étranger depuis plus d'un an, des Australiens se sentent "apatrides", Birmanie : l'ambassadeur au Royaume-Uni officiellement évincé, nouveaux heurts meurtriers, Regain de tensions en mer de Chine méridionale après des manœuvres chinoises contestées, La Corée du Nord ne participera pas aux Jeux olympiques de Tokyo, Plus de 120 morts après des inondations en Indonésie et au Timor oriental, Corruption : l'ex-Premier ministre malaisien Najib Razak devant la cour d'appel dans l'affaire 1MDB, Indonésie : des inondations font plus de quarante de morts sur l’île de Florès. Fréquentation certifiée par l'ACPM/OJD. Des soldats des Forces de sécurité frontalières de l'Inde (BSF) montent la garde à un point de contrôle le long d'une route menant à Ladakah, à Gagangeer, dans le district de Ganderbal au Cachemire, le 17 juin 2020. accrochage militaire meurtrier dans l'Himalaya. La Chine a accusé l’Inde d’être responsable de l’incident en ayant franchi à deux reprises la frontière contestée, mais n’a pas publiquement fait état de morts de son côté. ♂️ https://t.co/X5ELchUqfw. Le déséquilibre entre les deux économies contribue à expliquer ce sentiment : le PIB chinois est quatre fois plus élevé que le PIB indien et la Chine exporte sept fois plus que l’Inde. Au-delà du contentieux frontalier, le face-à-face militaire sino-indien illustre les conséquences des tensions croissantes entre l’Occident et la Chine. La Chine a accusé l’Inde d’être responsable de l’incident en ayant franchi à deux reprises la frontière contestée, mais n’a pas publiquement fait état de morts de son côté. Comment le Covid-19 révèle les failles du système hospitalier français. Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Suez et Veolia parviennent à un accord de principe en vue de leur rapprochement, Le syndicalisme ne fait pas son entrée chez Amazon aux Etats-Unis, « En décidant de produire sa future berline Citroën en Chine, Stellantis envoie un signal destructeur », « Les PME doivent prendre pleinement conscience de leur statut “d’entité d’intérêt collectif” », Pourquoi la dette publique n’est pas un problème (pour l’instant). Le Monde. New Delhi doit "être préparé à l'escalade" mais "en étant conscient de ce que cela implique pour l'avenir", écrit le journal. Pas un mot de cet affrontement en revanche relaté dans les médias chinois. The territorial incident occurred within a 38,000 square kilometre area of disputed territory between India and China, Aksai Chin.The Chinese claim that this area is part of Xinjiang, while the Indians believe that this area is part of Jammu and Kashmir.China and India signed two agreements, in 1993 and 1996, in order to establish protocols to resolve potential disputes in the region. (AFP). Le résumé de la semaineFrance 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine, Emportez l'actualité internationale partout avec vous ! Elle accuse l’Inde d’être responsable de l’incident « Violents corps-à-corps ». « La création d’un impôt minimum mondial sur les entreprises est une occasion historique qu’il ne faut pas gâcher », Thomas Piketty : « La crise du Covid-19, plus grave crise sanitaire mondiale depuis un siècle, oblige à repenser la notion de solidarité internationale », « Déboulonner une roue de la voiture de la journaliste bretonne Morgan Large n’est pas un geste d’intimidation, mais une tentative de blesser ou de tuer », Irlande du Nord : des mensonges à la violence, DVD : James Stewart en héros névrosé chez Anthony Mann, Denis Grozdanovitch : « Il a fallu que je m’invente des malheurs », La série « The Nevers » sur OCS, mélodrame victorien et science-fiction contemporaine, Avec « Vivre sans sexualité », France Culture tend son micro aux abstinents anonymes, La situation des Ouïgours force le Canada à se confronter à son histoire, S’aimer comme on se quitte : « Avec elle, j’étais devenu une éponge à stress », Le klops : la recette de Stéphane Rotenberg. In late May, Chinese forces objected to Indian … Publié le 18 juin 2020 à 12h10 Temps de Lecture 2 min. L’incident du 15 juin 2020 dans la vallée de Galwan entre l’Inde et la Chine Contrairement à la LOC et malgré son statut flou, la LAC n’avait pas enregistré d’incident grave depuis 1975. La Chine a dit mercredi espérer un apaisement avec l'Inde, après un incident meurtrier qui a opposé lundi les deux géants asiatiques sur leur frontière disputée de l'Himalaya. Le Covid-19 est-il une bonne nouvelle pour le climat ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. ", ⚡️ L’Inde affirme que trois de ses militaires seraient morts dans des affrontents avec la Chine. "La provocation est grave", estime le quotidien Indian Express dans son éditorial appelant l'Inde à "garder la tête froide" et "à répondre par une réflexion calme et une volonté de fer". Lecture du Monde en cours sur un autre appareil. La Chine a accusé mardi l’Inde d’être responsable de l’incident qui a opposé la veille les deux géants asiatiques. La Chine a elle évoqué des "morts et blessés", sans toutefois préciser dans quel camp, et accusé l'Inde d'être responsable de l'incident. Le dernier conflit ouvert entre les deux nations les plus peuplées de la planète remonte à la guerre-éclair de 1962, qui avait vu les troupes indiennes rapidement défaites par l'armée chinoise. De son côté, l'Inde a dit vouloir la paix mais a prévenu qu'elle "réagira à toute provocation". Ce qui, côté chinois, ne fait que confirmer une paranoïa au long cours nourrie par la hantise de l’encerclement. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Lors d'un autre incident début septembre, des coups de feu ont été tirés pour la première fois en 45 ans à la frontière avec la Chine. Certaines chaînes de télévision ultranationalistes louent elles les "martyrs" tombés au front et utilisent le hashtag #ChineMustPay (#LaChineDoitPayer). D’un côté, l’Inde est courtisée par les Occidentaux en dépit du malaise que suscite sa droite islamophobe et liberticide. — Harsh V Pant Publié le : 17/06/2020 - 10:59Modifié le : 17/06/2020 - 13:29. Directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, Ecole d’économie de Paris, Combats à mains nues, chutes, noyades : comment l’Inde et la Chine se sont affrontées dans l’Himalaya, à 4 200 mètres d’altitude, Quand l’Inde de Modi annexe une région du Népal, Pékin se prépare à imposer une loi de sécurité nationale à Hongkong, Europcar : -15% sur votre location de voiture, Yves Rocher : -50% sur une sélection d'articles, Nike : jusqu'à -50% sur les articles en promotion. Le genre d’incident qui peut vite déraper... Cela fait plusieurs semaines que les tensions s’accroissent aux frontières sino-indiennes, sans susciter un vif intérêt médiatique. Et le contexte géopolitique donne à cet incident des allures inquiétantes, d’autant qu’il oppose deux puissances militaires qui n’ont pas l’intention de perdre la face. Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Additional clashes also took place at locations in eastern Ladakh along the Line of Actual Control. New Delhi et Pékin se rejettent mutuellement la responsabilité de l'affrontement meurtrier, le premier en 45 ans entre les deux nations les plus peuplées de la planète. © 2021 Copyright France 24 - Tous droits réservés. Des sources indiennes parlent de 20 morts côté indien et jusqu’à 43 morts ou blessés de l’autre. Une configuration qui laisse envisager un monde post-Covid aux tensions géopolitiques exacerbées. Les premières photos de la Commune de Paris ont-elles été manipulées ? Les deux armées sont engagées depuis quelques semaines dans plusieurs face-à-face tendus le long de leur frontière contestée, principalement au Ladakh, et ont dépêché des milliers de renforts. Le contentieux avec la Chine pousse Delhi vers l’Australie, le Japon et les Etats-Unis. Par Le Figaro avec AFP. L'Inde et la Chine se sont affrontées, mardi 16 juin, dans la région himalayenne du Ladakh. Après le grave incident à la frontière sino-indienne, dans la région du Ladakh, qui a causé ce lundi 15 juin la mort de 20 soldats indiens, et l'échec de la diplomatie, la Chine et l'Inde augmentent leur présence militaire sur cette frontière contestée de l’Himalaya. La précédente altercation meurtrière entre militaires indiens et chinois datait de 1975, lorsque quatre soldats indiens avaient perdu la vie en Arunachal Pradesh. Beginning on 5 May 2020, Chinese and Indian troops engaged in aggressive melee, face-offs and skirmishes at locations along the Sino-Indian border, including near the disputed Pangong Lake in Ladakh and the Tibet Autonomous Region, and near the border between Sikkim and the Tibet Autonomous Region. AFP. Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. "Il ne fait aucun doute que l'Inde veut la paix mais si elle est provoquée, l'Inde apportera la réponse adéquate. La Chine a, elle, évoqué des « morts et blessés », sans toutefois préciser dans quel camp, et accusé l’Inde d’être responsable de l’incident. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois. Les confrontations dans des zones montagneuses entre armées indienne et chinoise sont devenues plus fréquentes ces dernières années, ce que l'administration Trump interprète comme le signe d'une agressivité chinoise croissante en Asie. De nouvelles échauffourées ont eu lieu en mai à la frontière entre les deux pays, dont les relations sont toujours tendues depuis la guerre de 1962. La Chine n'a pas reconnu de pertes de son côté et a accusé l'Inde d'être responsable de l'incident. Ce dernier a exhorté l'Inde à éviter "les gestes provocateurs" qui pourraient envenimer la situation. L'Inde a évoqué des victimes "des deux côtés", mais la Chine est restée muette sur d'éventuelles victimes dans ses rangs. "Nous ne provoquons jamais personne", a déclaré mercredi le Premier ministre Narendra Modi, dans une allocution télévisée. Début mai, des affrontements à coups de poing, pierres et bâtons avaient notamment opposé des militaires des deux pays dans la région du Sikkim (est de l'Inde), faisant plusieurs blessés. La Chine a de son côté évoqué des «morts et blessés», sans toutefois préciser dans quel camp, et accusé l'Inde d'être responsable de l'incident. Cet incident militaire grave fait suite à plusieurs face-à-face tendus le long de la frontière commune survenus depuis début mai. Partager : Chine ; Chine-Inde : le choc des nationalismes Éditorial. La Chine a accusé l'Inde d'être responsable de l'incident en ayant franchi à deux reprises la frontière contestée. Aucune balle n'a été tirée au-dessus de la frontière indo-chinoise depuis. Mais son contexte – la stratégie d’endiguement de la Chine par Donald Trump et la mise en cause de Pékin dans la pandémie de Covid-19 – donne à cet incident des allures inquiétantes, d’autant qu’il oppose deux puissances militaires aux mains de dirigeants nationalistes qui n’ont aucune intention de perdre la face. The incident follows rising tensions, and is the first deadly clash in the border area in at least 45 years. Le face-à-face entre soldats chinois et indiens dans l’Himalaya est le premier à faire des victimes depuis 1975. Plus tard dans la journée, la Chine et l'Inde sont tombées d'accord pour "apaiser la tension", a annoncé mercredi Pékin à la suite d'un appel téléphonique entre leurs chefs de la diplomatie. ⚡️ L’Inde affirme que trois de ses militaires seraient morts dans des affrontents avec la Chine. À l'inverse, de l'autre côté de l'Himalaya, le grand journal de la télévision nationale chinoise mardi soir n'a pas soufflé mot de l'incident frontalier. La Chine a, elle, évoqué des « morts et blessés », sans toutefois préciser dans quel camp. L'Inde et la Chine ont déployé leurs forces militaires sur leur frontière commune, dans l'Himalaya. pic.twitter.com/IY77QCCHJH. "L'Inde et la Chine ont toutes les deux exprimé leur volonté d'un apaisement, ... le grand journal de la télévision nationale chinoise mardi soir n'a pas soufflé mot de l'incident frontalier. La Chine appelle de son côté à l'apaisement. La Chine a seulement dit mercredi 17 juin espérer un apaisement avec l'Inde. La Chine n'a, pour sa part, pas publiquement fait état de victimes parmi ses troupes. Publié le 31/08/2020 à 09:29. Votre avis sur nos contenus nous intéresse. Dans un éditorial, le quotidien nationaliste Global Times, publié en chinois et en anglais, explique que Pékin se refuse à communiquer le nombre des victimes chinoises "afin d'éviter les comparaisons et empêcher une escalade du sentiment de confrontation". Editorial. India says 20 soldiers killed in border clash with China. Le statu quo qui régit cette section contestée de la ligne de contrôle effectif entre Chine et Inde a vécu. La région du Ladakh est source de tensions entre les deux puissances. Les tensions ne s’apaisent pas entre la Chine et l’Inde après l’incident frontalier à la mi-juin. The incident follows rising tensions between the two Asian powers in the border area of the western Himalayas. VIDÉO. L'Inde et la Chine se disputent le contrôle de deux territoires frontaliers depuis l'indépendance indienne et la fin du régime colonial britannique en 1947. Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible. La Chine, avec ses meilleures infrastructures, ses capacités militaires supérieures, pense peut-être que c’est le moment de pousser l’Inde, pour voir jusqu’où ira l’Inde. Les affrontements entre la Chine et l'Inde qui ont causé la morts d'au moins 20 soldats indiens dans la région himalayenne du Ladakh, ont provoqué colère et indignation en Inde. L’Inde n’a, cependant, jamais cessé de considérer la Chine comme une rivale, voire une ennemie. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Les tensions entre la Chine et l'Inde s'invitent sur le terrain du mobile. L'Inde accuse la Chine de nouvelles «provocations» à la frontière. France 24 n'est pas responsable des contenus provenant de sites Internet externes. Le fait que le sang ait été versé sans arme à feu, en vertu d’un protocole établi précisément pour éviter une escalade incontrôlée, évoque un fort degré de violence. L'armée chinoise a admis vendredi que quatre de ses soldats ont été tués l'an dernier, lors d'affrontements sanglants avec les forces indiennes le long de leur frontière commune en haute montagne. France 24 - Infos, news & actualités - L'information internationale en direct. Dans ces moments de tangage, Pékin est intraitable sur ses « intérêts fondamentaux » – comme le prouve le coup de force législatif mené en parallèle à Hongkong pour y imposer des lois de sécurité nationale.