Jacques-Louis-Joseph, page du roi Louis XVI le, Joseph-François Quemper, seigneur de Lanascol, en Plouzélambre, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne en 1668. Qu'il détenait lors de l'abolition des charges anoblissantes. La noblesse de sa famille est trop ancienne pour que les titres originaires aient pu être conservés pendant plusieurs siècles dans une province qui a essuyé tant de révolutions... (Archives de Meurthe-et-Moselle, AD MM B269, d'après l'inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790). Pierre-Théodore D. de La V., officier de la Marine royale, tué par les bleus en 1795 (, Admission aux États d'Artois 1788 ; membre de la « Deutschen Adelsgenossenschaft und des Vereins Nobilitas » au. Jean de Vaulchier, Jacques de Saulieu, Jean de Bodinat. (D. Labarre de Raillicourt, Maintenue de noblesse en Auvergne le 28 juillet 1667. Hyacinthe-Joseph-François de T., lieutenant général, grand'croix de Saint-Louis en 1819 (, Alexandre de Lautrec, dit de Toulouse-Lautrec, maintenu noble en Languedoc le 24 octobre 1669 (, Paul de Tredern, seigneur dudit lieu, en Plougoulm, (Finistère), maintenu noble en Bretagne, le 4 juin 1669. Il sut protéger l'île de l'attaque de la Flotte anglaise, en 1746, et sauva par son feu la frégate La Renommée, commandée par, Auguste-Étienne-Marc Gourlez, créé baron de La Motte le 26 octobre 1808, lieutenant-général, commandeur de la Légion d'Honneur, chevalier de Saint-Louis (, Célian-Louis-Anne-Mary Goury, baron du Roslan, secrétaire de la Légation de France à Mexico, baron héréditaire le 9 juin 1846, grand-officier de la Légion d'Honneur en 1866 (, Renaud Le Gouvello, seigneur de Keriaval, en Carnac, et de Kerlévenant, en Sarzeau, (Morbihan), bailli de Quimperlé, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, en 1640. Jean Doublet (édition de Charles Bréard), Branche. Louis de Turenne, marquis d'Aynac, page de la Grande Ecurie sur preuves du 21 mars 1548. Noblesse maintenue le 16 mars 1641, devant Bretel de Grimonville, intendant de Champagne et le 2 juin 1668 par Caumartin. B 784. Jean-Marie Hervé du Penhoat, émigré de 1791 à 1802, anobli le 18 novembre 1815 (, Cette famille obtint des maintenues de noblesse en Poitou les 16 mai et 31 décembre 1715. Cf Bulletin de l'ANF - Juillet 2017. Pour Régis Valette, il restait 3 092 familles subsistantes de la noblesse française en 2007, dont 2 748 d'Ancien Régime et 344 du XIXe siècle[Note 1]. Acte récognitif : Enregistrement, en date du, Jean Le Bouteiller, seigneur du Chastenay, maintenu noble d'extraction en Bretagne le 9 avril 1669 (. La noblesse française possédait des droits financiers et juridiques spécifiques et prérogatives. Acte récognitif : Maintenue de noblesse de la généralité de Moulins, élection de Nevers de 1667, en faveur de Noël de Thoury, seigneur de Malnay. Nom repris de la famille de Courson de La Villevalio, éteinte en 1847. Download. Jean de Chalus, reconnu noble par un arrêt de la cour des aides de Paris du 20 décembre 1754 (, Jacques de Champs, seigneur de Saint-Léger-de-Fougeret (Nièvre), maintenu noble par la Cour des Aides de Paris le 8 août 1657 (, Julien de Chappedelaine, (1649-1710), écuyer, épouse à Lamballe le 8 juin 1677, Françoise de Gouyon. anoblie par lettres Patentes de mai 1678, enregistrées en la cour des aides de Montpellier le 26 août 1679 (Authier et Galbrun, En 1965 un membre de cette famille substitue à son nom celui de « Gravier de Vergennes » par demande de changement de nom auprès du Conseil d'État. Acte récognitif : Registre de Simon des Coutures des maintenues faites par d'Agusseau, intendant de Limoges : inscription de Gabriel de La Laurencie, Acte récognitif : Lettres de provision de l'office de. François-Xavier B de la R-B, maintenu noble à l'Intendance de Poitiers le 3 avril 1748 (, Sébastien de Bruc, seigneur de Livernière, maintenu noble en Bretagne le 19 janvier 1671 (, Julien Budes, seigneur de Launay-Couvran en Trégueux, maintenu noble en Bretagne en 1669 (, René Busnel, seigneur de La Touche, maintenu noble en Bretagne le 2 mars 1669 (, François de Cadaran, maintenu noble en Bretagne le 23 octobre 1668 (, René Cadoret est maintenu dans sa noblesse en Bretagne en 1669 (, Joseph de Cadoudal, maréchal de camp, chevalier de Saint-Louis, commandeur de la Légion d'Honneur, anobli le 16 décembre 1815. Famille de, Alexandre de Cahouët, inspecteur général des Ponts et Chaussées, est anobli le 26 avril 1817 (, Louis-Jean de Cargouët, maintenu noble en Bretagne le 15 avril 1669 (, François de Carheil, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le, Philibert de Carné, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, dans le ressort de Lesneven, le, Jacques-Marie Carron, avocat, anobli le 17 février 1815 (, Guillaume de Castel, chevalier, maintenu noble en Bretagne le 8 avril 1669 (, Jean de Castellan, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 7 décembre 1668 (, Jacques de Cavelier, seigneur de Mocomble en Normandie, conseiller du roi, trésorier général de France à Rouen, le 3 mai 1652. Thomas-Jean-Marie du Couedic, volontaire royaliste pendant les Cent-Jours, tué près d'Auray le 24 juin 1815 (, Guillaume de Couespel, maintenu noble en normandie en 1666 (, Philippe de Couessin, seigneur de La Berraye, en Caden (Finistère), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 25 octobre 1668 (, Les Branches de la famille de Courson sont innombrables. Il a été élu, Pierre Dibart, seigneur de La Villetanet (Ille -et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne le 17 mai 1669. Gilles de Coatgoureden, seigneur de Kermatehan, en Burtulet (Côtes-d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne le 16 juillet 1670. aînée comte de Vaubécourt 1642, éteinte 1705. en 1932, mettant ainsi un certain ordre dans un domaine où n'importe qui peut prendre n'importe quel qualificatif nobiliaire. (, Antoine de Pioger, seigneur des Vergers, en Ercée-en-la-Mée, (Ille-et-Vilaine), maintenu noble en Bretagne, le, Jean-Baptiste-Nicolas du Plessis, vicomte de Grenédan, en Illifaut, (Côtes d'Armor), maintenu noble en Bretagne, le 17 décembre 1668, conseiller au Parlement de Bretagne en 1674. Louis d'Izarny-Gargas, Jean-Jacques Lartigue, Jean de Vaulchier. 1786). La dernière modification de cette page a été faite le 14 janvier 2021 à 15:26. Fidèle H. du F., né à Brest le 6 janvier 1771, page du roi, colonel de cavalerie, chevalier de Saint-Louis. Jean de La Monneraye, seigneur du Bourgneuf, né en 1667, grand prévôt de Bretagne. Godefroy, baron de Secondat et de Montesquieu avant 1774 (, Claude, baron de Sesmaisons, en Saint-Sébastien de Nantes, (Loire Atlantique), président de la noblesse aux États, chevalier de Saint-Michel en 1659. À cette époque, on pensait que le courage, la bravoure, se transmettaient de père en fils et c’est pourquoi, lorsqu'un père était anobli à cause de ses hauts faits de guerre, ses descendants gardaient ce titre. Bonabes-Jean-Baptiste de R., colonel du régiment d'Auvergne en 1777. Il obtient le 4 décembre suivant des lettres d'honneur de conseiller, enregistrées le 18. Famille représentée aujourd'hui par Yseult et Sabine nées en 1929 et 1931 à Saïgon. C'est en sa faveur que la terre du Ménil a été érigée en baronnie par Lettres du mois d'octobre 1778, reg.à Rouen le 14 janvier 1779. Léopold-Henry de G. Vincent de Kerimel de Kerveno, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 29 novembre 1670. À la suite d'une adoption, ce patronyme a été relevé en 1957 par un membre de la famille Jourda de Vaux de Foletier qui l'a substitué au sien en 1965 (Demande de changement de nom faite par Jean Pierre Noel Jourda de Vaux de Foletier-Gravier de Vergennes, publiée au Journal Officiel du 13 juin 1964. Charles-Louis T., de B., colonel des grenadiers de France en 1749, maréchal de camp en 1770, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis (, Antoine, Jean-Marie, comte de Thévenard, chef d'escadre en 1784, brigadier des armées navales en 1786, ministre de la marine en 1791, comte de l'Empire le 9 janvier 1810, sénateur le 5 février 1810, pair de France le 2 juin 1814, membre de l'Académie des sciences, Grand-Officier de la Légiond'Honneur, commandeur de l'Ordre de Saint-Louis (, Pierre-Jacques-Philippe Tillette, seigneur de Mautort (Somme), lieutenant au régiment du roi-Infanterie. On peut être aristocrate sans être noble. tome IV (1939) : des Fieux à de Martimprey, Anciennement la famille en question se nommait, Maintenue de noblesse par Le Pelletier de La Houssaye le 6 juin 1699 à l'intendance de, Jougla de Morenas indique que Chérin généalogiste du roi retient 1334, Jacques de Laage, né à Jonsac, Charente Maritime, en 1660, maître d'hôtel du duc de Berry, puis, écuyer, conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France, le 23 novembre 1718. "Une famille noble c'est une famille qui est héritière et dont le corpus de valeurs est fondé sur la référence au passé. Une branche de la famille reprend le nom de Salgues par décret du 14 janvier 1882. Preuves devant les généalogistes des ordres du roi (A.N. François de Gérard, officier au régiment de Normandie, blessé à la bataille de Berg-op-Zoom en 1747, membre de l'assemblée de la noblesse du Périgord pour nommer des députés aux États Généraux de 1789 (, Jean de Gueyer d'Orth, d'origine suédoise, général feld-maréchal sous l'empereur Ferdinand II de Habsbourg, empereur du Saint Empire Germanique, prit d'assaut la ville et la citadelle de Magdebourg (Prusse), en 1631. Armorial ANF, 2004, p.577 : ( Louis Pierre d'Hozier): preuves de noblesse de 1769 (admission dans les cadets gentilshommes de l'École Royale Militaire). Des familles qui sont mentionnées comme nobles par différents auteurs comme Régis Valette, le baron de Woelmont, André Borel d'Hauterive, Ambroise Louis d'Hozier, mais considérées de noblesse inachevée par d'autres sources, sont reportées dans cette liste. Dictionnaire historique et héraldique de la noblesse française, rédigé dans l'ordre patronymique, d'après les archives des anciens Parlements, les manuscrits de d'Hozier et les travaux des auteurs, contenant un vocabulaire du blason, la notice des familles nobles existant actuellement en France, avec la description et le dessin de leurs armes / par D. de Mailhol -- 1895-1897 -- livre (Comte de Waroquier. L'auteur ne cite aucune création de titre de marquis en ce qui concerne la famille Dax et en ce qui concerne Marc Antoine de Dax il écrit « dit le marquis d'Axat », Alexandre Achard, seigneur du Pas-de-la-Vente, maintenu noble en Normandie le, Nicolas Ameline de Cadeville, gouverneur de l'île et du château d'Oléron, maréchal de camp, Chev. Guillaume de Lisle, né le, Claude, baron Lombard, avocat au Parlement, conseiller général et député de l'Isère, de 1815 à 1824, créé baron et anobli le 7 mars 1830, pair de France, le 3 octobre 1837. Théodore de B., marquis de Beaumont-Villemanzy, pair de France en 1813 (, Léon Boscal de Réals, baron de Mornac, député de la noblesse de Saintonge aux États Généraux de 1649 et 1651 (, René-Jean Botherel, seigneur du Plessis, maintenu noble en Bretagne le, "François de Botmiliau, seigneur de La Villeneuve, maintenu noble en Bretagne le 16 juillet 1669" (, "Jean Bouan, seigneur du Chef-du-Bos en Saint-Potan, maintenu noble en Bretagne le 9 avril 1669 (, Pierre du Bouays, seigneur de Couesbouc, en Saint-Gondran (Ille-et-Vilaine), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 16 août 1642 (, Louis-Édouard Bouët-Willaumetz, confirmé dans le titre de comte B.W.le 18 octobre 1845, gouverneur du Sénégal en 1843, vice-amiral, sénateur de l'Empire en 1865, Grand'Croix de la Légion d'Honneur en 1868 (, Vincent du Bouetiez, seigneur de Kerorguen, en Saint-Gilles d'Hennebont, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le 24 novembre 1668 (, Louis de Bouëxic, seigneur de La Chapelle-Bouëxic, maintenu noble en Bretagne le 10 novembre 1668. Aujourd'hui elle obéit à une règle : survivre, transmettre et s'adapter. Par ailleurs, signalons que des auteurs[2] expriment toutefois des désaccords sur certaines preuves de noblesse, sur l'expression noblesse d'Empire et sur la notion de noblesse au XIXe siècle. Augustin-Marie-François Joyault de Couesnongle, inspecteur des contributions indirectes du Finistère, anobli le 3 février 1815 (, François de Kerautem, en Carnoët (Côtes d'Armor), maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne le 13 août 1669. cette famille ayant présenté trois générations de chevaliers de Saint-Louis, officiers des armées royales, est anoblie sous la Restauration par lettres patentes de 1815 (D.Labarre de Raillicourt, Janine et Pierre Saliès, « Les Capitouls de Toulouse de 1590 à 1740 », in, Une branche puinée a relevé le nom de la branche ainée, du Mas de Paysac, éteinte au début du, Bibliothèque historique de la ville de Paris (mss 1222, Dreux, f°139). Alexis-Henri de L., maréchal de camp, avant 1849 (, Michel de Langlais, maintenu noble en Bretagne le 9 mai 1663 et au Conseil d'État le 19 août 1672. Jacques-Henri G. de La V., officier de l'Armée Royale, membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1770 ; émigré et mort en mer en 1791. en cas de noblesse d'extraction, la date de l'acte le plus ancien marquant le début de la filiation suivie, c'est-à-dire prouvée à chaque génération ; la ou les principales maintenues de noblesse (notamment 1666-1727) ; Bommelaer, anobli en 1694, Flandres, armorial de JB Rietstap. Auguste, Bonabes de M., capitaine des vaisseaux du roi, chevalier de Saint-Louis, membre de la Société américaine de Cincinatus, émigré à l'armée des princes en 1792, contre-amiral en 1815 (, Gérard de Messey, seigneur de Sainte-Sabine (Saône-et Loire), commandant d'une compagnie de 100 arquebusiers par brevet du 27 octobre 1618, commandant de la compagnie du duc de Mayenne en 1619, capitaine d'une enseigne du roi en 1635. Jean-Baptiste-Louis, commandant de bataillon au régiment Royal-Vaisseaux en 1743. Vicomte Albert révérend, Les trois branches nobles subsistantes sont issues de Pierre Teillard (1763-1836), anobli par L.P. du, Chardin par mariage en 1841 avec Victoire Barron de Chardin, Les autres branches non anoblies, qui subsistaient encore au début du, Acte récognitif : Maintenue de la noblesse de Champagne en 1669 par M. de Caumartin, en faveur de Gabriel de Thelin, seigneur de Gumont et. Download PDF. 2 Robert Larin et Yves Drolet, « Les listes de Carleton et de Haldimand. Acte récognitif : Certificat de noblesse signé par. Gabriel de F., conseiller du roi en ses Conseils d'État, conseiller au Parlement de Bretagne, le 19 août 1633, président à mortier le 20 décembre 1647, député par le Parlement vers le Roi Louis XIV, le 17 octobre 1651. La famille de La Vaissière de Lavergne, olim Vaissière [2], est une famille subsistante de la noblesse française originaire d'Auvergne (Saint-Flour), anoblie en 1655 [2], [3 Recueil des personnes ayant fait leurs preuves pour l'ANF (année 1968). Jean-Louis-Armand, inspecteur général de la maison des rois louis XVIII et Charles X (. Toussaint-Guillaume de Francheville, officier de marine, chef de l'expédition des royalistes de la presqu'île de Rhuys contre Vannes en 1791, puis chef des chouans en 1793, tué à Marsan en l'an IV (, Famille originaire d'Italie. Claude de Harcodeaux, sa veuve, maintenue noble à Orléans, le 22 janvier 1667. Chaix d'Est-Ange écrit que cette famille n'a pas fait l'objet d'une maintenue en la noblesse au temps des grandes recherches mais en 1766 par la Cour des aides de Normandie et bénéficia en 1788 d'un arrêt du Conseil d'Etat (t.XV. La noblesse repose sur un socle de valeurs, telles que "l'honneur, la dignité et le rang", mais aussi "le sens du service d'autrui… "Qui dit noble, dit appartenance à un clan, culte des aïeux et de l'histoire. La liste des familles classées de L à Z figure dans la seconde partie de cet article. Voir : Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z). Les recherches sont faciles ! Honneurs de la cour en 1772 (Authier et Galbrun. Pierre, marquis de Rougé, aide de camp du maréchal de Créqui avant 1707. Voir : Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K). Autre Louis-Marie-Joseph de T., lieutenant au régiment de Poitou, a servi à la Martinique, émigré à l'armée des princes, en 1792, blessé au combat de Bois-le-Duc (, François de Trémaudan, seigneur du Tertre, en Plénée, (Morbihan), chevau-léger de la garde du roi, maintenu noble en Bretagne, le 3 septembre 1670 (, Jacques Treton, avocat au Parlement, secrétaire du roi, le 17 juillet 1701. La noblesse française, ce sont 3.000 familles dont 300 remontent au Moyen Âge. (Louis de La Rocque. Claude François, marquis de Jouffroy d'Abbans par Lettres de mars 1707, reg. Des modifications peuvent avoir été effectuées, notamment la mise en page et des retraits de liens. Marie-Jean-Baptiste de R., garde du corps du roi en 1732. Son fils Claude est président à mortier du Parlement de Paris en 1651 et ministre d'État en 1653. François-Hyacinthe de T., mousquetaire de la garde du roi en 1722. Paul-Antoine-Louis F. de L., capitaine des vaisseaux du roi, commanda en second avec La Pérouse l'expédition autour du monde et fut massacré à Samoa (Océanie), le 9 décembre 1787. La Noblesse Française. Annales de démographie historique, Belin, 2016, 131 (1), pp.13-36. Louis-François-Armand, de W., baron de Limé, blessé à Fontenoy le 11 mai 1745. Patrice du Puy de Clinchamps. Yves deT de B., conseiller au Parlement Maupeou à Rennes de 1771 à 1774 (, Pierre de Trolong, seigneur de Rumain, en Hengoat (Côtes d'Armor), maintenu noble d'extraction en Bretagne, le 18 mai 1669 (, Louis-François de Turgy, né à Paris, le 18 juillet 1763, chef de cabinet de la duchesse d'Angoulême, officier de la Légion d'Honneur, anobli le 2 décembre 1814. Des familles qui sont mentionnés comme nobles par différents auteurs comme Régis Valette, le baron de Woelmont, André Borel d'Hauterive, Ambroise Louis d'Hozier, mais considérées de noblesse inachevée par d'autres sources, sont reportées dans cette liste. Ordonnance de maintenue de noblesse du 10 juillet 1704 rendue pour Joseph de Cremoux. Reconnue noble par le Conseil Supérieur de Corse le 11 février 1771, en exécution de l'édit du Roi de 1770. (B.N. Gabriel Artur, seigneur du Ronceray, procureur du roi, maintenu noble en Normandie en 1671 (, Charles d'Aubert, seigneur de Launay-Beaulieu, maintenu noble à l'intendance de Bretagne en 1698, puis au Conseil d'État en 1706 (, Guy Aubert, marchand de draps de soie à Rennes, acquéreur le 27 novembre 1690 de la charge anoblissante de conseiller-secrétaire du roi près la chancellerie du Parlement de Bretagne (, Pierre Aubert, sieur de Vincelles en Auxerrois, anobli en 1669 par la charge de conseiller du roi, admis dans l'orde de la noblesse aux États de Bourgogne en 1682 (, Josué-Alexis Augé, maire de Passy, anobli le 30 juin 1830 (, Louis d'Augustin, seigneur de Bouguisson en Epeigné (Indre-et-Loire), Gouverneur de Furnes (Flandre), maintenu noble en Touraine le 25 février 1661 (, Jacques d'Aviau, seigneur de Relay et du Bois-de-Sanzay, en Saint-Martin-de-Sanzay (Deux-Sèvres), page de la reine, capitaine au régiment de Persan, Chevalier de Saint-Michel, maintenu noble au Conseil d'État en 1668 (, Jacques-René Barbier du Doré, chef de division des armées catholiques et royales de l'ouest, colonel, chevalier de Saint-Louis, anobli le 28 mars 1818 (, Pierre-François de Beaudrap, député de la noblesse du Cotentin aux États généraux de 1789 (, Joseph de Bentzmann, maintenu noble à l'Intendance de Guyenne, à Bordeaux, le 12 décembre 1757 (, Jean-Claude Blanchet, seigneur de Pravieux, anobli en 1731 par l'échevinage de Lyon. (Comte de Waroquier, Inventaire des titres, actes et documents produits par François de Jouffroy-Gonsans, prouvant sa noblesse pour être reçu au. Joseph de Ronseray, écuyer, né le 9 décembre 1681, capitaine d'armes à Nantes en 1710, établi à Saint-Domingue (Antilles), en 1541. Louis-Guillaume-François de P., chef d'escadre des armées navales le 20 août 1784. La famille Gravier de Vergennes, anoblie en 1681 par charge de trésorier général à Dijon, s'est éteinte en 1984. Les branches subsistantes sont issues de Jaques, Famille dont la noblesse est d'abord reconnue pour deux membres de la famille aux Pays-Bas en 1814, suivi par l'incorporation dans la noblesse néerlandaise pour trois frères avec le titre de baron pour tous en 1816, Voir, Acte récognitif : Enregistrement au Parlement de Toulouse le, Acte récognitif : Maintenue de noblesse du. La majorité de la noblesse belge est francophone (même ceux qui vivent en Flandre et ont un nom néerlandophone), conservatrice, catholique romaine et pro-monarchiste. Filiation rigoureusement prouvée depuis Henry de Bryas, dit de Bristel, l'un des 121 gentilshommes présent en 1414 aux États d'Artois. (Dossier ANF). Acte récognitif : François de Coataudon, écuyer, seigneur de Hamon, et son fils Guillaume, Le chef de cette famille, Nicolas Colas, s'est fixé en Orléanais vers 1350, étant conseiller du duc d'Orléans, fils du roi Philippe VI de Valois. Heeckeren (de) aux Pays-Bas par arrêté royal de 1836, par arrêt de 1841 du Tribunal civil de Colmar en France. Augustin de La Bigne, docteur en droit à Rennes, conseiller à la cour royale en 1816 (, Charles de La Celle, écuyer, sgr. François de Bouvier, Lieutenant-Général du Bailliage de Vaudémont, anobli par le duc Charles III de Lorraine, données à Nancy le 16 novembre 1566 (Comte de Waroquier, Argens, viguerie de Castellane, aujourd'hui, Cette famille a été étudiée par Luc Antonini, in, Selon Gilles Goüin d'Ambrières, généalogiste spécialisé de l'Anjou et la Touraine, La Guerche, terre et seigneurie dans l'évêché de Nantes, érigée en marquisat par lettres de février 1682 reg. De nos jours la population française vit sous un régime républicain qui pose par principe l'égalité de tous en droit donc plus de traitement particulier du fait de la naissance, mais il reste toutefois des personnes qui descendent en ligne masculine, naturelle (sans adoption) et légitime d'une famille ayant été noble avant 1870. Lettres patentes du 9 septembre 1824 conférant le titre héréditaire de baron pair sur institution de majorat. Maintenue noble en 1668 sur le vu d’une production falsifiée établissant une noblesse de race remontant à 1493, Une branche de Choulot a relevé Chabaud La Tour par adoption. André-Mathurin Chéreil, seigneur de La Rivière-Trélan (Ille-et-Vilaine), Trois chevaliers de Saint-Louis : 1/ Jean-Baptiste de Chevigné, seigneur de L'Herbergement au château de Boischollet (Loire-Atlantique), né le 24 juin 1690, major d'infanterie. Les familles subsistantes de la noblesse française sont les familles qui étaient autrefois membres de la noblesse française et qui se sont perpétuées jusqu'à nos jours. Claude-Marie de P., chef d'Escadre des Armées navales, le 16 septembre 1764. Charles Alexandre Marie François de La Foye, né à Paris en 1839, général d'artillerie, commandeur de la Légion d'Honneur (, Rodolphe-Emmanuel de La Goublaye, maintenu noble d'extraction par un arrêt du Parlement de Bretagne du 13 juillet 1770 (, François de La Guerrande, écuyer, sgr de La Villecoleu, en Saint-Germain-de-la-Mer (Côtes d'Armor), épouse Marguerite de Planche; Veuve, elle obtient la maintenue de noblesse d'extraction en Bretagne pour ses enfants, le 22 novembre 1668 (, Famille d'ancienne noblesse, maintenue noble dans l'élection d'Angoulême en 1666, et en Poitou, en 1700 et 1715 (, Famille originaire de Bourgogne, établie dans l'État de Liège, puis en Bretagne. Maintenue par arrêt de la chambre des comptes de Lorraine, le 3 décembre 1775. Tracy par décret de 1861 après alliance d'Estutt. t.XVIII, Fel-For. La famille "de Nicolaï de Lacoste de Laval" est issue de la famille "de Nicolas", sieurs de La Coste et de Laval. Les quartiers de noblesse, n’ont jamais été utilisés par la royauté française, qui ne s’occupait que de la lignée mâle pour l’estimation de la noblesse. ↑ Quand de Gaulle faisait discrètement allégeance à la noblesse française, journal L'Express, article de Charles de Laubier, 2017. (Authier et Galbrun. Tome 7 / par de La Chenaye-Desbois et Badier -- 1863-1876 -- livre (Authier et Galbrun. Jean-René-Louis de Kermoysan, officier au régiment de Royal-Auvergne, émigré en 1791, prisonnier en 1796 des armées républicaines et condamné à mort. Bernard de Poulpiquet du Halgouët, chevalier, président au Présidial de Nantes en 1649, président de la Chambre des Comptes en Bretagne en 1654, maintenu noble d'extraction chevaleresque en Bretagne le 23 octobre 1668.Jean-François de Poulpiquet, (1728-1793), comte du Halgouët, capitaine au régiment de La Tour du Pin, chevalier de Malte et de Saint-Louis (, François Prévost de Sansac, seigneur du Puybottier, en Saint-Coutant, (Charente), maintenu noble en Poitou, les 2 mars 1665 et 22 septembre 1667. Ne sont indiqués dans cette liste que les titres dits « authentiques », c'est-à-dire les titres héréditaires fondés sur un acte officiel de création ou de reconnaissance d'un souverain français, et régulièrement transmis à partir du premier titulaire jusqu'à nos jours selon leurs règles particulières de dévolution. La terre et la seigneurie d'Asnières-les-Bois érigée en comté sous le nom de Loriol par Lettres Patentes de janvier 1743, enregistrées au Parlement de Dijon le 7 mai 1743 en faveur de Louis Alexandre Catherine Duport, sgr de Mont-Plaisant, Fromenten, La Gravillère, président à Mortier au Parlement de Bourgogne. Jean-Baptiste Charles Vaillant de Meixmoron, garde du corps du roi, épouse en 1837 Marie Charlotte Mathieu de Dombasle, fille de Christophe, Joseph Alexandre, célèbre agronome et inventeur.