les sites : œuvres de l'homme ou œuvres conjuguées de l'homme et de la nature, et zones incluant des sites archéologiques, qui ont une valeur universelle exceptionnelle du point de vue historique, esthétique, ethnologique ou anthropologique. Sofia – Sozopol, Bulgarie, 28-30 septembre 2014. Les problèmes liés à la protection du patrimoine et au développement du tourisme continuent de faire l’objet d’un nombre considérable de débats (Chaouad et Verzeroli, 2013 ; Caprioli, 2007). d'adopter une politique générale visant à assigner une fonction au patrimoine culturel et naturel dans la vie collective, et à intégrer la protection de ce patrimoine dans les programmes de planification générale ; d'instituer sur leur territoire, dans la mesure ou ils n'existent pas, un ou plusieurs services de protection, de conservation et de mise en valeur du patrimoine culturel et naturel, dotés d'un personnel approprié, et disposant des moyens lui permettant d'accomplir les tâches qui lui incombent ; de développer les études et les recherches scientifiques et techniques et perfectionner les méthodes d'intervention qui permettent à un État de faire face aux dangers qui menacent son patrimoine culturel ou naturel ; de prendre les mesures juridiques, scientifiques, techniques, administratives et financières adéquates pour l'identification, la protection, la conservation, la mise en valeur et la réanimation de ce patrimoine ; de favoriser la création ou le développement de centres nationaux ou régionaux de formation dans le domaine de la protection, de la conservation et de la mise en valeur du patrimoine culturel et naturel et d'encourager la recherche scientifique dans ce domaine. études sur les problèmes artistiques, scientifiques et techniques que posent la protection, la conservation, la mise en valeur et la réanimation du patrimoine culturel et naturel, tel qu'il est défini aux paragraphes 2 et 4 de l'article 11 de la présente Convention ; mise à la disposition d'experts, de techniciens et de main-d'œuvre qualifiée pour veiller à la bonne exécution du projet approuvé ; formation de spécialistes de tous niveaux dans le domaine de l'identification, de la protection, de la conservation, de la mise en valeur et de la réanimation du patrimoine culturel et naturel ; fourniture de l'équipement que l'État intéressé ne possède pas ou n'est pas en mesure d'acquérir ; prêts à faible intérêt, sans intérêt, ou qui pourraient être remboursés à long terme ; octroi, dans des cas exceptionnels et spécialement motivés, de subventions non remboursables. Le Fonds est constitué en fonds de dépôt, conformément aux dispositions du règlement financier de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture. Ces rapports seront portés à la connaissance du Comité du patrimoine mondial. Elle n’apparaît plus comme un leader dans le domaine de l’action culturelle, éducative, scientifique au niveau international. Depuis 1972, l'Unesco, avec la « convention sur la protection du patrimoine culturel et naturel mondial », a créé sa liste du patrimoine mondial, … L’UNESCO a publié un manuel complet portant sur l’archéologie sous-marine et un livre de 600 pages sur les cours de formation, disponibles dans plusieurs langues. La Convention de 2001 pour la protection du patrimoine culturel subaquatique a déjà été ratifiée par 49 États et d’autres se préparent à l’adhésion. La participation de l'État qui bénéficie de l'assistance internationale doit constituer une part substantielle des ressources apportées à chaque programme ou projet, sauf si ses ressources ne le lui permettent pas. IX.26 A la demande du Comité, la Note verte intitulée "Préservation et mise en valeur du patrimoine culturel et naturel", émise par le Directeur général de l'UNESCO le 23 novembre 1998, a été présentée au Comité dans le document de travail WHC-98/CONF.203/11.Add. Toutefois, tout État visé à l'article 31 ou à l'article 32 de la présente convention peut, au moment du dépôt de ses instruments de ratification, d'acceptation ou d'adhésion, déclarer qu'il ne sera pas lié par les dispositions du paragraphe (1) du présent article. En 1972, la Conférence générale de l'UNESCO adopte une convention internationale prévoyant la protection du patrimoine mondial de l'humanité. Ces normes sont comparables à celles acquises par d’autres conventions de l’UNESCO ou législations nationales pour le patrimoine culturel terrestre, et déjà spécifiques aux sites archéologiques submergés. Le nombre des États membres du Comité sera porté à 21 à compter de la session ordinaire de la Conférence générale qui suivra l'entrée en vigueur de la présente convention pour au moins 40 États. Nations Unies, Situations de Post-Conflit et de Post-Catastrophe, Collection de films et d’enregistrements sonores, recommandation concernant la protection sur le plan national du patrimoine culturel et naturel, © UNESCO Centre du patrimoine mondial 1992-2021, Propositions d'inscription à la liste du patrimoine mondial, Initiative sur le patrimoine d'intérêt religieux, Initiative thématique : astronomie et patrimoine mondial, L’évolution humaine : adaptations, dispersions et développements sociaux (HEADS), La stratégie pour le patrimoine naturel du Centre du patrimoine mondial, Patrimoine mondial et populations autochtones, Patrimoine mondial naturel dans le bassin du Congo, Programme d'éducation des jeunes au patrimoine mondial, Programme des Villes du patrimoine mondial, Programme du patrimoine mondial pour l’architecture de terre (WHEAP), Programme du Patrimoine mondial pour les Petits États insulaires en développement (PEID), Programme sur le patrimoine mondial et le tourisme durable, Recommandation concernant le paysage urbain historique, Réduire les risques de catastrophes sur les sites du patrimoine mondial. Dès 1992, nous nous sommes progressivement orientés vers l’intervention dans des situations post-crises et post-conflits, ainsi que par la suite dans des contextes de rupture, et d’exclusion. Chacun des États parties à la présente Convention reconnaît que l'obligation d'assurer l'identification, la protection, la conservation, la mise en valeur et la transmission aux générations futures du patrimoine culturel et naturel visé aux articles 1 et 2 et situé sur son territoire, lui incombe en premier chef. Sur la base des inventaires soumis par les États en exécution du paragraphe 1 ci-dessus, le Comité établit, met à jour et diffuse, sous le nom de «. toutes autres ressources autorisées par le règlement qu'élaborera le Comité du patrimoine mondial. Elle entrera en vigueur pour chaque autre État trois mois après le dépôt de son instrument de ratification, d'acceptation ou d'adhésion. Le quorum est constitué par la majorité des membres du Comité. Encore aujourd’hui, lorsqu’il est question du tourisme dans les Orientations devant guider la mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial (UNESCO, 2008), c’est davantage de la protection des sites contre les risques d’une surfréquentation touristique dont il est question, que de la promotion de ces sites. La présente convention pourra être révisée par la Conférence générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture. Un État partie à la convention ayant fait la déclaration visée au paragraphe (2) du présent article, peut à tout moment retirer ladite déclaration moyennant notification du Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture. en ce qui concerne les dispositions de cette Convention dont la mise en œuvre relève de l'action législative du pouvoir législatif fédéral ou central, les obligations du gouvernement fédéral ou central seront les mêmes que celles des États parties qui ne sont pas des États fédératifs ; en ce qui concerne les dispositions de cette Convention dont l'application relève de l'action législative de chacun des États, pays, provinces ou cantons constituants, qui ne sont pas en vertu du système constitutionnel de la fédération tenus à prendre des mesures législatives, le gouvernement fédéral portera, avec son avis favorable, lesdites dispositions à la connaissance des autorités compétentes des États, pays, provinces ou cantons. Les États parties à la présente Convention indiquent dans les rapports qu'ils présenteront à la Conférence générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture aux dates et sous la forme qu'elle déterminera, les dispositions législatives et réglementaires et les autres mesures qu'ils auront adoptées pour l'application de la Convention, ainsi que l'expérience qu'ils auront acquise dans ce domaine. © UNESCO / L. Gamonal Cours de formation à Cuba. Aux fins de la présente Convention sont considérés comme « patrimoine naturel » : les monuments naturels constitués par des formations physiques et biologiques ou par des groupes de telles formations qui ont une valeur universelle exceptionnelle du point de vue esthétique ou scientifique. Au cas où la Conférence générale adopterait une nouvelle convention portant révision totale ou partielle de la présente Convention et à moins que la nouvelle convention n'en dispose autrement, la présente convention cesserait d'être ouverte à la ratification, à l'acceptation ou à l'adhésion, à partir de la date d'entrée en vigueur de la nouvelle convention portant révision. Le Flamenco est une expression artistique qui résulte de la fusion du chant (cante), de la danse (baile) et de l’accompagnement musical (toque).L’Andalousie, dans le sud de l’Espagne, est le berceau du Flamenco, bien qu’il ait également des racines dans d’autres régions telles que la Murcie et l’Estrémadure. Le travail que fournit l’UNESCO dans la protection du patrimoine culturel est l’une des initiatives de conservation internationale les plus visibles jamais entreprise, mondialement reconnue et respectée. Conformément à l'article 102 de la Charte des Nations Unies, la présente convention sera enregistrée au Secrétariat des Nations Unies à la requête du Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture. Les instruments de ratification ou d'acceptation seront déposés auprès du Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture. La liste du patrimoine mondial est gérée par l'Unesco, l'organe des Nations unies chargé de l'éducation, la science et la culture. La Convention permet d’obtenir une protection complète du patrimoine culturel submergé où qu’il se trouve afin d’harmoniser sa protection avec celle appartenant au patrimoine terrestre et de fournir aux archéologues les lignes directives à suivre quant à la manière de traiter ce patrimoine. Les dispositions ci-après s'appliquent aux États parties à la présente Convention ayant un système constitutionnel fédératif ou non unitaire : Le Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture informera les États membres de l'Organisation, les États non-membres visés à l'article 32, ainsi que l'Organisation des Nations Unies, du dépôt de tous les instruments de ratification, d'acceptation ou d'adhésion mentionnés aux articles 31 et 32, de même que des dénonciations prévues à l'article 35. La réserve, qui fait … Ils s'engagent à informer largement le public des menaces qui pèsent sur ce patrimoine et des activités entreprises en application de la présente Convention. Il le fait en tenant compte de l'importance respective des biens à sauvegarder pour le patrimoine mondial culturel et naturel, de la nécessité d'assurer l'assistance internationale aux biens les plus représentatifs de la nature ou du génie et de l'histoire des peuples du monde et de l'urgence des travaux à entreprendre, de l'importance des ressources des États sur le territoire desquels se trouvent les biens menacés et en particulier de la mesure dans laquelle ils pourraient assurer la sauvegarde de ces biens par leurs propres moyens. Il incombe à l'État qui reçoit cette assistance internationale de continuer à protéger, conserver et mettre en valeur les biens ainsi sauvegardés, conformément aux conditions définies dans l'accord. Une exposition dans l'un des principaux aquariums de Bangkok, accompagnée de démonstrations de plongeurs archéologues a, à titre d'exemple, été visitée par environ 150 000 personnes. Ce patrimoine constitue un héritage culturel et naturel. les ensembles : groupes de constructions isolées ou réunies, qui, en raison de leur architecture, de leur unité, ou de leur intégration dans le paysage, ont une valeur universelle exceptionnelle du point de vue de l'histoire, de l'art ou de la science. Ils facilitent les collectes faites à ces fins par des organismes mentionnés au paragraphe 3, article 15. Les États parties à la présente Convention s'efforcent par tous les moyens appropriés, notamment par des programmes d'éducation et d'information, de renforcer le respect et l'attachement de leurs peuples au patrimoine culturel et naturel défini aux articles 1 et 2 de la Convention. Elle fixe une norme commune pour la protection du patrimoine submergé afin d’empêcher qu’il ne soit pillé ou détruit. Préoccupés par les cas de destruction de sites submergés, en particulier avec le développement de technologies qui permettent un accès plus aisé aux fonds marins, les États membres de l’UNESCO ont adopté en 2001 la Convention de l’UNESCO sur la protection du patrimoine culturel subaquatique. Avec le retrait des États-Unis et d’Israël jeudi 12 octobre, l’institution onusienne perd deux de ses États membres. Huber Marie. Meeting of the Scientific and Technical Advisory Body of the 2001 Convention, Cartagena, Spain. La réponse de l’UNESCO aux situations de crises Les actions de l’UNESCO pour la protection du patrimoine culturel et la promotion de la diversité culturelle dans les situations Il est institué auprès de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, un Comité intergouvernemental de la protection du patrimoine culturel et naturel de valeur universelle exceptionnelle dénommé « le Comité du patrimoine mondial ». La fondation ALIPH a été créée à Genève le 8 mars 2017 [1]. Le Comité établit, met à jour et diffuse une liste des biens pour lesquels une assistance internationale à été fournie. Calmons-nous et ne mélangeons pas tout : la patrimoine culturel, économique, industriel, agricole, etc. Il appartient à chaque État partie à la présente Convention d'identifier et de délimiter les différents biens situés sur son territoire et visés aux articles 1 et 2 ci-dessus. Fait à Paris, ce vingt-troisième jour de novembre 1972, en deux exemplaires authentiques portant la signature du Président de la Conférence générale, réunie en sa dix-septième session, et du Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, qui seront déposés dans les archives de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, et dont les copies certifiées conformes seront remises à tous les États visés aux articles 31 et 32 ainsi qu'à l'Organisation des Nations Unies. La Convention pour la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel a été adoptée par l’UNESCO en 1972 et ratifiée par la France en 1975. Considérant que la dégradation ou la disparition d'un bien du patrimoine culturel et naturel constitue un appauvrissement néfaste du patrimoine de tous les peuples du monde. Chacun des États parties à la présente Convention aura la faculté de dénoncer la Convention. Il s'efforce d'agir à cet effet tant par son propre effort au maximum de ses ressources disponibles que, le cas échéant, au moyen de l'assistance et de la coopération internationales dont il pourra bénéficier, notamment sur les plans financier, artistique, scientifique et technique. Cette décision de l'assemblée générale requiert la majorité des États parties présents et votants qui n'ont pas fait la déclaration visée au paragraphe 2 du présent article. Il est composé de 15 États parties à la convention, élus par les États parties à la convention réunis en assemblée générale au cours de sessions ordinaires de la Conférence générale de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture. Le mandat d'un tel État qui est déjà membre du Comité prendra fin au moment de toute élection prévue à l'article 8, paragraphe 1, de la présente convention. Le Comité décide de l'utilisation des ressources du Fonds créé aux termes de l'article 15 de la présente Convention. Patrimoine mondial de l’UNESCO : Notre-Dame de Paris et les Rives de Seine Point de vue de Mr Bandarin, ancien directeur du Patrimoine mondial de l’UNESCO sur la conservation de Notre-Dame de Paris Cela va entraîner un regain d’intérêt, partout dans le monde, Elle ne modifiera en rien les obligations financières à assumer par l'État dénonciateur jusqu'à la date à laquelle le retrait prendra effet. Afin que le Comité soit en mesure de prévoir ses opérations d'une manière efficace, les contributions des États parties à la présente convention, ayant fait la déclaration visée au paragraphe 2 du présent article, doivent être versées sur une base régulière, au moins tous les deux ans, et ne devraient pas être inférieures aux contributions qu'ils auraient dû verser s'ils avaient été liés par les dispositions du paragraphe 1 du présent article. Constatant que le patrimoine culturel et le patrimoine naturel sont de plus en plus menacés de destruction non seulement par les causes traditionnelles de dégradation mais encore par l'évolution de la vie sociale et économique qui les aggrave par des phénomènes d'altération ou de destruction encore plus redoutables. Le travail de l’UNESCO a connu un nombre abondant de succès et de réussites concrètes dans le domaine de la préservation. Role de l'unesco dans la protection du patrimoine. Il est créé un fonds pour la protection du patrimoine mondial culturel et naturel de valeur universelle exceptionnelle, dénommé « le Fonds du patrimoine mondial ». Avant de refuser une demande d'inscription sur l'une des deux listes visées aux paragraphes 2 et 4 du présent article, le Comité consulte l'État partie sur le territoire duquel est situé le bien du patrimoine culturel ou naturel dont il s'agit. L’UNESCO a fait du concept d’héritage un atout qui appartient à l’humanité et est universellement reconnu. La dénonciation sera notifiée par un instrument écrit déposé auprès du Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture. La Convention définit le genre de sites naturels ou culturels dont on peut considérer l'inscription sur la Liste du patrimoine mondial. Les décisions du Comité sont prises à la majorité des deux tiers des membres présents et votants. En effet, si leur étendue ne représente pas même 1% des océans de la planète, ces sites abritent toutefois au moins 21% de la surface totale des écosystèmes de carbone bleu Cet inventaire, qui n'est pas considéré comme exhaustif, doit comporter une documentation sur le lieu des biens en question et sur l'intérêt qu'ils présentent. Making Ethiopian Heritage World Heritage. L'inscription d'un bien situé sur un territoire faisant l'objet de revendication de souveraineté ou de juridiction de la part de plusieurs États ne préjuge en rien les droits des parties au différend. Vous pouvez télécharger le texte dans la langue de votre choix. Les contributions au Fonds et les autres formes d'assistance fournies au Comité ne peuvent être affectées qu'aux fins définies par lui. les formations géologiques et physiographiques et les zones strictement délimitées constituant l'habitat d'espèces animale et végétale menacées, qui ont une valeur universelle exceptionnelle du point de vue de la science ou de la conservation. Les océans sont le passé et l'avenir de la vie humaine. Les États membres du Comité du patrimoine mondial exercent leur mandat depuis la fin de la session ordinaire de la Conférence générale au cours de laquelle ils ont été élus jusqu'à la fin de sa troisième session ordinaire subséquente. Il recherche les moyens d'en augmenter les ressources et prend toutes mesures utiles à cet effet. Celui-ci est disponible au téléchargement sur le site internet. Patrimoine sans frontières (PSF) est une association (loi 1901) culturelle et de solidarité créée en 1992. La révision ne liera cependant que les États qui deviendront parties à la Convention portant révision. Le Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, utilisant le plus possible les services du Centre international d'études pour la conservation et la restauration des biens culturels (ICCROM), du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), et de l'Union internationale pour la conservation de la nature et de ses ressources (UICN), dans les domaines de leurs compétences et de leurs possibilités respectives, prépare la documentation du Comité, l'ordre du jour de ses réunions et assure l'exécution de ses décisions. Voici le texte officiel de la Convention. Il doit joindre à sa demande les éléments d'information et les documents prévus à l'article 21 dont il dispose et dont le Comité à besoin pour prendre sa décision. Plusieurs cas illustrent le caractère sensible des mécanismes de protection du patrimoine mis en place par l’Unesco. Le financement des travaux nécessaires ne doit, en principe, incomber que partiellement à la communauté internationale. CULTUREL MATÉRIEL ET IMMATÉRIEL. De plus, l’UNESCO travaille sur une application digitale pour des tablettes et smartphones, qui reproduira des sites archéologiques subaquatiques et apprendra leur histoire aux enfants. Une assistance internationale très importante ne peut être accordée qu'après une étude scientifique, économique et technique détaillée. Le Comité définit les critères sur la base desquels un bien du patrimoine culturel et naturel peut être inscrit dans l'une ou l'autre des listes visées aux paragraphes 2 et 4 du présent article. Ces demandes peuvent avoir pour objet la protection, la conservation, la mise en valeur ou la réanimation de ces biens. Pour le futur, on attend de la Convention qu’elle modèle la discipline d’archéologie sous-marine ainsi que la protection du patrimoine submergé dans le monde entier. En vue d’obtenir une protection adéquate, la conservation et la recherche du patrimoine subaquatique, il est nécessaire de collaborer avec des experts entraînés qui, en ligne avec un cadre juridique approprié, protègent les sites concernés.