Je n'ai plus que les os, un squelette je semble, Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé ; Adieu, plaisant Soleil, mon œil est … Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. ( utilisation de figures de style pour le poète et l’écrivain pour que leurs œuvres aient un minimum de qualité et qu’elles soient plus complexes, plus travaillés ... Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Très nombreuses, les figures de style ne peuvent toutes être répertoriées ici. Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. / Vers lui s’avance son compagnon Olivier ; / Gérin y vient, et le vaillant comte Gérier, / et aussi Othon et Bérenger, / et aussi Astor et le vieil Anséis, / et le farouche Gérard de Roussillon ; … Décharné, dénervé, démusclé, dépulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé, Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé ; Adieu, plaisant soleil ! Ex « Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé. Mon œil est étoupé, Mon corps s'en va descendre où tout se désassemble. Ces figures permettent des rapprochements entre l’intime et le monde concret. ♦ L’accumulation du v. 2 (« Décharné, dénervé, démusclé, dépulpé ») et l’anaphore de « que » qui fait entendre un martèlement angoissant (« plus que les os », « Que le trait de la mort sans pardon a frappé », « que de peur je ne tremble », v. 1-4). Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m'a trompé ; Adieu, plaisant soleil ! Assonance: répétition de voyelles dans un vers ou un groupe de vers. La disparition de ce grand critique littéraire, figure majeure de l'«Ecole de Genève», éveille chez ceux qu'il a formés de la tendresse pour la personne et de l'admiration pour la liberté de la pensée et du style. Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Adieu, plaisant soleil, mon œil est étoupé, Adieu, plaisant soleil, mon œil est … Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé. Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé ; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m. Pierre de Ronsard 1524 - 1585. Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé » – Ronsard « Le comte Roland est monté sur son destrier. Mon oeil est étoupé, Mon corps s’en va … Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé; Adieu, plaisant soleil ! Les voyelles claires (i,u) peuvent exprimer la joie ou la violence, les voyelles graves (ou, o, on ) peuvent suggérer des bruits sourds ou la colère. Mon œil est étoupé, Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé Je n'ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Rousset, maître modeste et audacieux , par Isabelle Rüf Le Temps, Samedi 21 septembre 2002 . Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frapp ... Les figures de style privilégiées sont la métaphore, les antithèses, les comparaisons, qui permettent de transcrire des sensations nuancées. Les figures de style sont des procédés d’écriture employés pour frapper l’esprit du lecteur en créant un effet particulier. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé. Correspondance entre sonorités et impressions. » 3.