Entraîneur : Ancelotti. Mais Neymar et Edinson Cavani se sont gênés sur le centre de Kylian Mbappé qui avait pris, pour la seule et unique fois de la soirée, le dessus sur Kalidou Koulibaly à droite. J’ai eu le sentiment qu’on n’a pas réussi à garder notre plan pendant 45 minutes. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Suivez la première journée de la phase de groupes des WTF en exclusivité. La première occasion est parisienne avec Neymar qui accélère à droite et centre au second poteau pour Cavani. «Des la fin du tirage au sort, on savait que ce ne serait pas facile. L'Argentin a sauvé Paris en égalisant à la 93e minute pour offrir le nul aux siens contre Naples (2-2) mercredi. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Le jeune Diaby amène du punch côté gauche et provoque un bon coup-franc sur un débordement (86e). C’est difficile pour nous de respecter notre jeu, notre plan de jeu, notre structure et jouer de façon fiable pendant toute une mi-temps. C’était le défi pour Kylian.». Équipe à réaction, Paris a alors poussé, sans beaucoup d’imagination, avant ce coup de patte de Di Maria qui, d’une merveille de ballon enroulé, a trompé Ospina au bout du suspense (2-2, 90e+3).Son 24e but avec Paris en 2018, qui en fait, avec ses 12 passes décisives, le Parisien le plus décisif sur l’année civile. PSG – Naples 2-2, 24/10/18, Ligue des Champions 18-19. Buts : Insigne, 29′ ; Mario Rui contre son camp, 61′, Mertens, 77′, Angel Di Maria, 90’+3′. «Je peux comprendre pourquoi tu le ressens comme ça. Nous avons un autre style. Gagner à l’extérieur, gagner à la maison. Paris tente de réagir et s’offre un premier coup-franc intéressant, contré de la main par Callejon qui offre une meilleure possibilité et prend un jaune au passage (81e). Mertens avait bien cru donner la victoire au Napoli mais Di Maria est sorti de sa boîte au meilleur moment. «Nous avons très bien commencé, durant les 15 premières minutes, avec une grosse occasion de Kylian, Neymar et Edinson. Les notes du match. Histoire du PSG © 2017 - Tous droits réservés - Réalisé par. Mertens est sur la trajectoire comme Marquinhos, il l’efface et marque de près (1-2, 77e) ! «Nous avons commencé en 4-2-3-1 et Kylian a commencé à droite comme lors des derniers matches. Naples souffre et Allan fait une faute sur Mbappé qui perce plein axe mais l’arbitre n’accorde pas l’excellent coup-franc qui était pourtant logique (65e). Le PSG et le Napoli se séparent donc sur un match nul 2-2 pas loin d’être miraculeux pour les Parisiens vu le scénario du match et les prestations collectives des deux équipes. Nous ne sommes pas une équipe italienne ni l’Atlético Madrid, nous sommes le PSG. «Nous avons dit à la mi-temps que nous avions perdu notre structure et que nous n’avons pas joué ensemble pendant 30 minutes. Et qui a fini par céder sur un tacle de Mario Rui déviant dans ses propres buts un centre de Thomas Meunier (1-1, 61e). Neymar tente une nouvelle percée balle au pied mais il est rattrapé sur la fin, trop gourmand (73e). Tu dois me croire parce que c’est comme ça (rires). L1: le PSG, neutralisé par Strasbourg 2-2, devra attendre pour le titre Ligue des champions: PSG à l'assaut de Naples pour repousser un fiasco continental Naples-PSG: Buffon titulaire ? Napoli, un peu gêné, continue de jouer mais fait tourner alors que Paris est à 10, Neymar se faisant soigner sur le bord (4e). On a commencé avec intensité durant les 15 premières minutes mais on a perdu notre structure. Paris est lancé et Di Maria frappe, c’est contré mais Meunier est là pour mettre une grosse tête repoussée en corner (52e). On a été testé. – S.S.C. Retrouvez ci-dessous le résumé vidéo du match : Qu’est-ce qu’il a fait ? Il faut respecter l’importance de notre possession, de notre position et de notre structure avec et sans le ballon. Cela se joue sur des détails. L’Argentin a toutefois sûrement livré son plus mauvais match de la saison sous le maillot du club de la capitale (18 ballons perdus, 40% de duels gagnés seulement). Nous avons joué de façon trop compliquée, nous avons perdu plusieurs ballons faciles et nous avons ainsi perdu notre structure, notre confiance. Votre collègue à la télé m’a aussi parlé du manque d’intensité mais ce n’est pas comme ça. Après ça, Naples a marqué un autre but et c’était trop aléatoire. Naples est sous le choc mais provoque un dernier coup-franc finalement repoussé. 2:2 (0:1) Les premiers effets ne sont pas immédiats même si Paris reprend le ballon. C’est ce que Thomas Meunier a voulu dire en parlant d’attitude. On s’est dit les choses à la mi-temps. Les doublés, les triplés, les quadruplés au PSG, Histoire du PSG TV : Matchs, Best-of et reportages en intégralité, Les maillots du PSG : L’évolution depuis 1970, ИСТОРИЯ « Пари Сен-Жермена » – ВСЕ СЕЗОНЫ, Parc des Princes en 2018/19 : La forteresse imprenable ! Nous ne sommes pas les favoris face à Liverpool et au Napoli, tout le monde veut croire ça mais c’est ainsi. C’est un niveau où il faut être concentré. Cette action réveille toutefois le PSG qui reprend provisoirement le ballon avant de le voir de nouveau être confisqué (43e). Entraîneur : Thomas Tuchel. Après ça, c’est plus facile de faire un contre-pressing avec intensité. Le Napoli joue ensemble depuis plusieurs années avec un entraîneur de top niveau et des grosses qualités individuelles. Napoli frôle l’ouverture du score sur un centre superbe de Mario Rui que Mertens envoie sur la barre transversale d’Areola (24e) ! Insigne ne passe pas si loin du doublé sur un ballon récupéré haut et transmis dans la surface mais sa frappe enroulée n’attrape pas le cadre (45e+1). Mercredi 24.10.2018, Ligue des Champions, 3ème journée (3ème place) à Paris au Parc des Princes : PARIS ST-GERMAIN F.C. Buts : Insigne, 29′ ; Mario Rui contre son camp, 61′, Mertens, 77′, Angel Di Maria, 90’+3′. Alors que l’arbitre accorde 5 minutes généreuses de temps additionnel, Paris tente bien de pousser mais le Napoli est parfaitement en place et attend Paris. Paris doit désormais faire un résultat dans le bouillant San Paolo, dans deux semaines, pour ne pas compromettre ses chances de revoir les 8es de finale. PSG ´till I die! L’équipe de Naples : Ospina – Maksimovic, Albiol, Koulibaly, Mario Rui – Callejon (Rog, 88′), Allan, Hamsik, Fabian – Mertens (Milik, 84′), Insigne (Zielinski, 53′). Il nous reste trois finales à jouer. Ce n’est pas de l’irrespect, pas du tout.», Une non-qualification redoutée ? Si tu ne joues pas compact, tu ne peux pas jouer avec intensité. Après, certaines équipes peuvent prétendre avoir ce niveau. 2:2 (0:1) – 46 274 spectateurs. D’abord, il y a ce match de Marseille dimanche qui est important. L’arbitre a sifflé et c’était émotionnel mais pas un manque de respect. Le match ne change pas malgré l’ouverture du score et c’est encore Fabian Ruiz qui tente sa chance de loin (35e). © Eurosport, a Discovery Company 2020 – Tous droits réservés. Il faut aller chercher le maximum de points. «C’est normal, il voulait créer une dernière occasion de gagner, c’est totalement émotionnel. On a pu mettre beaucoup de pression et nous avons mérité de marquer. On manque de structure compacte. (le journaliste explique que Neymar a shooté dans la protection des caméras) C’est comme ça, il n’est pas content, il veut gagner, toujours. Sans surprise, le Napoli ouvre le score : Callejon lance Insigne dans le dos de Kimpembe et le petit attaquant lobe Areola venu à sa sortie (0-1, 29e) ! Nous avons l’intensité en seconde mi-temps parce que nous sommes ensemble dans le camp adverse, nous sommes ensemble avec des passes simples et faciles et on peut mettre la pression. A la mi-temps, c’est très logiquement que le PSG est mené 1-0 par Naples et il peut même s’estimer heureux de n’avoir qu’un but de retard vu l’écart collectif énorme entre les deux équipes. C’est donc très important de fermer les espaces, avec ou sans le ballon. – 46 274 spectateurs. On doit s’améliorer, c’est clair pour moi mais on a encore l’occasion de gagner ce duel direct.», Neymar énervé à la sortie du terrain : «Oui, peut-être. Informations concernant le Pass Eurosport, Déclaration concernant la lutte contre l’esclavage moderne. Avec une bonne prestation, on pourra emmagasiner de la confiance avant d’aller à Naples pour aller chercher ce résultat important.», Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. C’était mieux, beaucoup mieux, parce que les espaces ont été fermés, avec beaucoup d’intensité, plus de passes et de plus d’occasions de récupérer le ballon avec un pressing haut. Encore une fois incapable d’afficher l’agressivité requise en Ligue des Champions, le PSG est passé tout près de la correctionnelle face à Naples (2-2). A peine entré, Milik trouve le petit filet du mauvais côté de la tête (85e). PARIS ST-GERMAIN F.C. Alors que la rencontre s’installe dans un faux rythme, Tuchel réagit et lance Draxler à la place de Cavani (76e). Le gardien repousse sur Cavani qui se loupe complètement mais était hors-jeu (50e). Le PSG recevait le Napoli ce mercredi (21h) à l’occasion de la troisième journée de la phase de poules de la Ligue des Champions et les deux équipes se sont quittées sur un match nul pas loin d’être miraculeux pour Paris, Di Maria ayant égalisé à la 93ème minute. C’est parti, le PSG a donné le coup d’envoi ! On sait que l’on peut mieux faire.», Les chances de se qualifier en 8e de finale L’Uruguayen reprend de volée du gauche mais n’attrape pas le cadre (7e). L’équipe du PSG : Alphonse Areola – Juan Bernat (Thilo Kehrer, 46′), Presnel Kimpembe, Marcos Marquinhos, Thomas Meunier – Adrien Rabiot, Marco Verratti (Moussa Diaby, 83′) – Angel Di Maria, Neymar, Kylian Mbappé – Edinson Cavani (Julian Draxler, 76′). C’est le gardien qui gagne son duel (38e) ! Le PSG égalise finalement sur une action simple : Neymar et Mbappé combinent dans l’axe et Meunier est décalé côté droit. Alors que Bernat a provoqué un premier corner, Neymar revient au jeu (5e) ! On peut encore gagner ce duel. En première mi-temps, notre niveau était très bas. C’est super compliqué ce groupe, et on ne peut pas être surpris maintenant, on le savait avant. Paris fait aussi des erreurs mais Kimpembe intervient bien devant la surface sur une passe dangereuse de Hamsik (22e). «Soyons clairs, il y a vraiment un niveau différent entre la Ligue des Champions et la Ligue 1. - Histoire du #PSG. Mercredi 24.10.2018, Ligue des Champions, 3ème journée (3ème place) à Paris au Parc des Princes : On doit s’améliorer, c’est clair.», Mbappé, son positionnement et son match : Un PSG favori en difficulté, une surprise ? Cela nous a donné confiance pour faire le pressing haut, ce qui nous a permis de mieux jouer en deuxième période.», Le discours de Thomas Tuchel à la mi-temps Il fallait que l’on fasse mieux. Il a symbolisé les faiblesses parisiennes en première mi-temps, dépassé au milieu de terrain par l’équipe de Carlo Ancelotti. Grâce à un but sublime d'un Di Maria pourtant très décevant jusque-là, le PSG a arraché un nul longtemps inespéré face à Naples (2-2). Maksimovic prend un jaune mais repousse ensuite de la tête (87e). Tu dois respecter la culture du football des pays différents. Dès la pause, Tuchel change ses plans et sort Bernat pour Kehrer (46e), passant à une défense à trois. Qui permet surtout à Paris de ne pas se faire distancer dans le groupe C par Naples, 2e avec un point d’avance sur son adversaire du soir, alors que Liverpool, vainqueur de l’Étoile Rouge de Belgrade (4-0), est premier avec 6 points. Avertissements : Marcos Marquinhos, 6′, Mertens, 9′, Mario Rui, 33′, Callejon, 81′, Makismovic, 86′, Draxler, 90+5′. Cela a été très dangereux pour Naples et nous avons eu une bonne réaction. C’est compliqué…, Le plus gros défi tactique qu’il a eu à relever ? Le PSG a fait match nul 2-2 face au Napoli grâce à des buts de Mario Rui contre son camp et Di Maria en toute fin de match. Quand les choses vont mal, il faut être costaud, une situation ne se retourne pas facilement, surtout en Ligue des Champions. On jouait à 3 derrière face à deux attaquants de Naples très dangereux. On doit s’améliorer tactiquement, mais aussi dans notre tête. A Marseille et contre Lille, ce sera super difficile et c’est bien pour nous que ça soit comme ça. Décidément, le PSG a un problème avec les grands rendez-vous. Vous pouvez modifier vos choix à tout moment dans vos paramètres de vie privée. Ils ont gagné contre Liverpool et nous avons fait 2-2. Ce n’était pas possible de faire une première période comme celle que l’on a produite. – S.S.C. Arbitre : M. Zwayer. Il fallait courir comme une équipe, défendre comme une équipe. Privé de Thiago Silva, Paris a passé une soirée inconstante, où ses occasions (7e, 18e, 38e), ont trouvé de l’écho de l’autre côté du terrain. Paris n’y est plus et Di Maria loupe une passe facile que le Napoli exploite mais la volée d’Insigne est au-dessus (36e). Paris ne touche pas beaucoup la balle mais Neymar parvient à se sortir du marquage et envoie Mbappé défier Ospina. Ils nous avaient posé des problèmes ici en début de match. C’est notre structure qui a manqué, d’où cette impression.», Le match du PSG Informations sur votre appareil et sur votre connexion Internet, y compris votre adresse IP, Navigation et recherche lors de l’utilisation des sites Web et applications Verizon Media. En seconde mi-temps, nous avons joué avec deux numéros 10 si on peut le dire, et Edi en n°9 : dans les demi-espaces à gauche Neymar et Kylian à droite, tous très proches. Contre toute attente, le PSG égalise ; Neymar déborde côté gauche et donne à Draxler dans l’axe qui transmet à Di Maria. Mais derrière, le champion de France a progressivement cédé du terrain, avant d’être à nouveau sanctionné par son repli défensif trop lent. Découvrez comment nous utilisons vos informations dans notre Politique relative à la vie privée et notre Politique relative aux cookies. Pour autoriser Verizon Media et nos partenaires à traiter vos données personnelles, sélectionnez 'J'accepte' ou 'Gérer les paramètres' pour obtenir plus d’informations et pour gérer vos choix. Neymar tire mais Ospina détourne en corner (82e). Mais j’ai entendu que le PSG n’avait pas gagné face à une équipe italienne lors des cinq derniers matches. Il a fallu le changement de Thomas Tuchel à la pause (Thilo Kehrer à la place de Juan Bernat) et la réorganisation en 3-5-2 pour que les locaux sortent la tête de l’eau et mettent la pression à un Napoli qui ne réussissait plus grand chose dans l’entrejeu. Ce sont deux choses différentes et on ne peut pas mélanger cela. Avec deux buts encaissés, nous avons montré une bonne réaction et une bonne attitude.», Deux gros chocs de L1 pour préparer le retour, une bonne chose ? Peu à peu, la partie trouve son rythme et Paris prend le ballon, Verratti forçant par exemple Rui à concéder un corner. Son centre est contré par Mario Rui au fond ed ses propres filets (1-1, 61e). PSG – Naples 2-2, 24/10/18, Ligue des Champions 18-19. Il ne faut pas dire que la Ligue 1 est un problème. LIGUE DES CHAMPIONS - Le PSG peut dire merci à Angel Di Maria. Après ça, je ne sais pas pourquoi mais nous avons perdu notre structure. Il faut penser étape par étape. Marquinhos fait aussi une faute très évitable et plutôt violente sur Mertens dans le rond central, prenant un avertissement très mérité (6e). En seconde période, cela a été complètement différent alors que c’était la même équipe de Naples. Il se met sur son pied gauche et envoie une frappe enroulée imparable dans la lucarne opposée (2-2, 93e). Yahoo fait partie de Verizon Media. Mais dans le top niveau, on ne peut pas perdre notre structure ni des ballons faciles. On peut s’améliorer dans ces matches parce que ce n’est pas possible de faire des erreurs. Tout le monde était d’accord. Après, il a demandé à Thomas Meunier et Angel Di Maria de jouer plus haut. Peu à peu, le Napoli revient aussi dans la partie et Mertens tente sa chance sur une frappe en pivot qui ne passe pas si loin du cadre (68e). Mais je peux comprendre que tu le ressentes comme ça. Son analyse du match : Thomas Tuchel a fait des bons changements tactiques. Vu ces 30 dernières minutes de la première mi-temps, c’était logique que le Napoli marque un but. Paris fait aussi de petites erreurs dont Naples profite et Areola est sollicité mais capte bien. NAPLES (Ita.) Question posée par un journaliste italien qui avait déjà fait du PSG le favori la veille, d’où le ton un peu particulier de Tuchel. C’est un défi pour nous.», L’attitude des joueurs : Fan du club depuis toujours, présent au Parc et en déplacement de 1988 à 2010. Et puis surtout il nous a parlé de notre mental. On n’arrivait pas à presser haut, à se créer des occasions. En deuxième mi-temps, nous avons changé, nous sommes passés en 3-2 (3 défenseurs et 2 milieux) pour jouer plus simple, plus vite, en première intention dans le camp adverse avec la possession du ballon. Ce sont pourtant ses coéquipiers qui se sont mis les premiers en évidence, dès la 2e minute. C’est notre défi de s’améliorer. «J’ai beaucoup de respect pour ce groupe mais on le savait avant que ça allait être super compliqué. Ils sont ensemble depuis plusieurs années, nous sommes ensemble depuis 11 semaines. Naples s’est toutefois montré plus adroit face au but et a ouvert le score grâce à Lorenzo Insigne, qui ne s’arrête plus de marquer en Ligue des champions (5 buts sur les 7 derniers matches), sur une inspiration géniale de José Callejon (1-0, 29e). «Tu m’as déjà dit hier que le PSG était le favori et je t’ai déjà dit que non. On le voit avec Lyon qui fait de bonnes prestations en Ligue des Champions. Arbitre : M. Zwayer. Le forcing parisien continue mais Allan est plus saignant que Neymar dans la surface (56e), de même que Mario Rui sur Cavani alors que le penalty était tout près (58e). L’adversaire est très fort et c’est bien pour être prêt. C’est finalement Neymar qui crée la première occasion d’une grosse percée et frappe des 18m. Contre teoute attente, c’est le Napoli qui marque : Fabian Ruiz se débarrasse de Verratti et frappe. En seconde période, on change le plan, on joue selon celui-ci et on a été mieux. Pour être aidé, appelez le 0974751313. Je ne sais pas pourquoi mais c’est difficile pour nous. C’était super dur de montrer encore une réaction face à une équipe de la qualité du Napoli mais nous l’avons montrée, encore. Neymar, décidément pas veinard, prend aussi un sale coup de Mertens, averti (9e). Maillot 2018-19 version Ligue des Champions, Les Parisiens avant le coup d’envoi… (L’Equipe), Angel Di Maria, qui endossera le costume de sauveur d’un PSG en perdition (Made in Parisiens), Kylian Mbappé félicite Thomas Meunier après le 1er but Parisien (Made in Parisiens), La joie de Thilo Kehrer et d’Angel Di Maria après l’égalisation in extremis du PSG (Made in Parisiens), Le superbe tifo de la tribune Auteuil : « Parisiens de père en fils ». - Histoire du #PSG, Bilan face aux clubs italiens - Histoire du #PSG, Les matchs du 24 octobre - Histoire du #PSG, [2019/20 ] Tirage de la Ligue des Champions : Qui espérer et qui éviter ? Pour moi, c’est un duel de 180 minutes contre le Napoli, nous sommes à la mi-temps à 2-2 et nous avons des occasions de gagner ce duel directement. «Non parce que, pour moi, c’était vraiment clair que Naples allait jouer en 4-4-2, un 4-4-2 presque parfait. Mais le prochain match contre Marseille sera le plus difficile.», Le manque d’agressivité du PSG : COMME UN FANTÔME - Remplacé à la 76e minute par Julian Draxler, Edinson Cavani n'a pas été à la fête mardi soir face à Naples (2-2), son ancienne équipe contre qui il espérait se relancer. On doit jouer de façon fiable, totalement fiable. Le Napoli avait largement dominé la première période, ouvrant le score par Insigne mais Paris avait égalisé à l’heure de jeu sur un contre son camp récompensant sa bonne entame. «Les changements de Thomas Tuchel nous ont donné une meilleure structure défensive. Napoli se procure aussi une énorme occasion gâchée par Mertens sur un coup-franc remisé mais le Belge était hors-jeu (16e). Mais ce sera des matches du même niveau. Cavani et Neymar se gênent pour reprendre dans la surface et le Brésilien sort du terrain, souffrant (2e) ! «On a montré deux visages totalement différents. Nos partenaires et nous-mêmes stockerons et/ou utiliserons des informations concernant votre appareil, par l’intermédiaire de cookies et de technologies similaires, afin d’afficher des annonces et des contenus personnalisés, de mesurer les audiences et les contenus, d’obtenir des informations sur les audiences et à des fins de développement de produit. Un premier signe. Mais ce n’est pas une question de joueurs pas prêts ou de 70% d’intensité. Cela arrive jusqu’à Mbappé au second poteau mais le Français ne trouve pas le cadre sur sa frappe (14e). Neymar envoie de son côté Mbappé au but qui dévie pour Cavani mais la frappe est mauvaise et Ospina repousse en corner cette énorme occasion (17e). NAPLES (Ita.) Je peux comprendre pourquoi tu ressens ça mais quand les espaces sont trop grands, tu ne peux pas jouer avec intensité. L’ogre parisien, qui survole le championnat de France, risque d’amplifier un peu plus son image de club qui n’arrive pas à grandir sur la scène européenne après le nul concédé ce mardi au Parc des Princes (2-2), grâce à un but dans les tout derniers instants d’Angel Di Maria, face à une séduisante formation napolitaine.